mercredi 29 avril 2020

GIEC : Les prédicateurs de la mondialisation


Interdit de séjour sur Facebook et Twitter

Les prédicateurs de la mondialisation



On peut pardonner à Sainte Greta son ignorance. Faute d'être allée à l'école, les principes de la thermodynamique appliquée aux volumes atmosphériques lui échappent complètement.
On peut hausser les épaules quand Macronescu essaie de capter le vote vert en annonçant qu'il va interdire le réchauffement climatique dans la Constitution.
Et pourquoi ne pas faire condamner en justice les tremblements de terre, les cyclones, les éruptions volcaniques, les tsunamis et les chutes de météorites tant qu'il y est ?

Tout est possible chez un démagogue...
Mais que dire des pseudo-savants qui soutiennent des énormités ?
Veulent-ils surpasser Lyssenko, Sokal et l'homme de Piltdown au palmarès des supercheries scientifiques ? Ou sont-ils stipendiés pour colporter une panique irraisonnée sur laquelle s'engraissent toutes sortes d'entreprises troubles qui prétendent sauver la planète ?

La question mérite d'être posée quand on voit avec quelle mauvaise foi les médias menteurs appartenant au Nouvel Ordre Mondial parlent d'unanimité et  de consensus, alors que la doctrine du GIEC n'est validée que par 600 personnes environ.
Quand 31.000 scientifiques du monde entier, Ph.D, éminents universitaires et chercheurs de réputation internationale, dont une brochette de Prix Nobel, refusent de se laisser intimider et dénoncent l'imposture du prétendu réchauffement anthropique.

Mais ces gens-là ne sont jamais invités à s'exprimer dans les médias, des pressions sont exercées pour qu'on ne les accueille plus dans les colloques et que les revues scientifiques ne publient plus leurs études.
Et sur le web, la plupart des moteurs de recherche les ont déréférencés, tandis que les grands réseaux dits sociaux de même que les plateformes dites d'information les ont censurés puis bannis. Puis exercé leur vindicte sur ceux qui faisaient allusion à leurs travaux. 

Le dioxyde carbone n'est pas un poison

Bien au contraire, il est indispensable à la vie ! C'est l'aliment de base des plantes. Avec l'eau et le rayonnement solaire. Sans CO2 il n'y aurait pas de plantes et une grande partie de l'atmosphère que nous respirons ne se renouvellerait plus. D'ailleurs, si la concentration de CO2 dans l'atmosphère a légèrement augmenté à la fin du siècle dernier, passant de 0,038% à 0,04% aujourd'hui le niveau est stable.
Le CO2 d'origine anthropique représente 4% du total soit 0,0016% de l'air.
Dans le même temps la surface couverte par la végétation sur la terre s'est accrue de 20% 
Aux ères des dinosaures, le niveau de CO2 a atteint des valeurs proches de 10.000 ppm (partie par million ou 106 ) soit 25 fois la concentration actuelle. Ce fut pourtant l'époque d'une flore et d'une faune géantes d'une extraordinaire diversité.

D'ailleurs est-ce un hasard si les agriculteurs en serres y injectent trois fois plus de CO2 qu'il n'y en a dans l’atmosphère ? Résultat observable : Les plantes poussent plus vite, elles résistent mieux aux maladies et aux insectes,  leurs fruits sont plus gros,  et grâce à une photosynthèse plus efficace, elles consomment moins d’eau.
Perdre la moitié de la concentration actuelle, de l'ordre de 400 ppm, conduirait inexorablement à l’extinction d'une grande partie de la végétation et donc des animaux qui s'en nourrissent. Avec à l'horizon la famine pour la plupart des humains. Malgré le véganisme prôné par les réchauffards.

En outre, rappelons que près des trois quarts de l'oxygène que nous respirons provient du phytoplancton (et pas des forêts !) C'est le vrai poumon de la planète, lequel se nourrit de CO2. Réduire de façon drastique le CO2 mènerait à une catastrophe planétaire.
Oui, mais « Et  le réchauffement ? » 
Difficile de discuter avec les fanatiques d'une nouvelle religion cramponnés à leur dogme. La dissonance cognitive est commune aux esprits simples qui ont longtemps gobé des sornettes, et souffrent tellement quand on leur oppose des faits qui contredisent leurs croyances, qu'ils nient tout dans une véritable fureur hystérique !

Pour les autres, je recommande la *lecture des graphes* établis par des scientifiques  du monde entier récapitulant les phases de chaud, froid, sec, humide au cours de 15.000 dernières années.
En toute hypothèse, sur un temps plus court depuis la fin du petit âge glaciaire, il  apparaît clairement que la courbe des températures suit les périodes d'activité solaire et n'est en aucune façon corrélée au CO2.



Caniculi Canicula

Les réchauffistes sont les premiers à dire d'un ton docte et inspiré qu'il ne faut pas confondre météo contingente et climat rémanent. Mais dès qu'il s'agit de canicule, changement de discours : le casuel et le provisoire, liés à des phénomènes locaux, deviennent l'expression du réchauffement planétaire global.
Alors pour leur rafraîchir un peu la mémoire, plongeons dans les chroniques des clercs des siècles passés :

En 994, Hugues Capet régnant, l'absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant tous les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux. Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures > 42°C pendant au moins 6 à 8 semaines. Les témoins d'époque évoquent une "chaleur infernale" pendant près de 3 mois ! 

Des canicules de plusieurs mois, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que hommes et bétail mouraient littéralement de soif puis de faim, on en connut 8 majeures jusqu'en 1682. Les plus meurtrières furent celles de 1540 et de 1636 qui  tua 500.000 Français.
Plusieurs dizaines de canicules se succédèrent, de moindre durée, entrecoupées de stases. Suscitant une vingtaine de jacqueries qu'on qualifierait aujourd'hui d'émeutes de la faim.

En 1684, l'Académie Royale des Sciences releva 25 jours d’une température d'au moins 31° et 16 jours de pas moins 35° à l'ombre à Paris où le thermomètre marqua plusieurs fois 40° en 1701 selon l'échelle de Torricelli.
Le climat se dérégla à nouveau en 1694, en 1718 et 1719 avec 700.000 morts, puis 1767, 1778, 1803, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893. Avec des pics de mortalité et de chaleur en 1846 et 1859.
Et ça continua ainsi jusqu'au XXème siècle. Mais les astrologues du GIEC n'ont probablement jamais entendu parler de la canicule de 1911 qui fit 45.000 morts en France (19.000 pour celle de 2003 attribuée au prétendu réchauffement) pas plus que du pic de chaleur de 56,7°C enregistré en Californie en juillet 1913.

C'est dans leurs têtes que ça chauffe ! 

Pour les pseudo-experts du GIEC constitués en 1990 en grands chamanes de la religion réchauffiste, universelle et obligatoire, vers 2040 la température moyenne de la terre dépasserait de 1,5 °C celle du début de l’ère industrielle, deux siècles plus tôt, si les émissions de gaz à effet de serre dont leur obsessionnel CO2 devaient se poursuivre au rythme actuel... Et ce serait alors la fin du monde !
La belle affaire quand on sait que lors de l'optimum médiéval de 950 à 1350 il faisait selon les endroits entre 2°C et 5°C de plus qu'aujourd'hui, en fonction des reliefs et des courants marins et aériens. En un temps où le Groenland était la terre verte des Vikings, quand la vigne poussait en Scandinavie et à Terre Neuve.

Et si on remonte plus loin dans le temps, Hannibal a pu franchir discrètement les Hautes Alpes avec ses éléphants il y a 22 siècles  parce qu'il n'y avait pas de glaciers sur sa route. L'optimum climatique romain redécouvert par Nature en 1999 a duré d'environ 250 avant JC à 400 après.

L’effet de serre... Imposture ou ignorance ?


Dès le début, on pouvait se poser la question. Car il n'y a aucun lien démontré entre un léger réchauffement de la planète et les émissions de CO2. Ce gaz a un effet de serre négligeable. Le CO2 ne représente que 0,04% de la composition de l’air. Une légère variation de ppm n'aurait aucune incidence sur les températures.
D'ailleurs, la teneur en CO2 est stable depuis la fin du siècle dernier, où elle était passée de 0,038 à 0,040% en 50 ans. Une augmentation terrifiante ! 😏
Le surplus est absorbé par les océans et par la végétation avec des forêts en  expansion, contrairement à ce que prétend la propagande alarmiste du NWO.



Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau aux effets bien plus significatifs. Puisque H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2.
Les "savants" du GIEC ont une curieuse façon de calculer l’effet de serre, en oubliant le gradient thermique vertical : L'air chaud monte et perd 2°C/1.000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12°C à 2000 m.

Dans leurs modèles, le CO2 vire à l'obsession quand, dans l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1 
C'est la vapeur d'eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infrarouges, le reste étant imputable à d'autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s'accumule pas par additions successives !

Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit avec la  chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d'accroître l'albedo de la terre et  donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.


Ainsi l'antienne « Sauvons la planète » © sans préciser en asservissant les hommes  est un mantra de propagande dépourvu de toute fondement scientifique. 
Le problème à la base est que la population théoriquement éduquée dans les pays avancés (alors que dire des gens du tiers monde?) est de moins en moins instruite scientifiquement. Très peu de gens essaient d’obtenir des informations sur l’empreinte CO2 réelle. Et encore moins de personnes s’intéressent à la science expérimentale. Trop compliqué ou trop fatigant pour elles.
Les médias et les gouvernements en profitent pour propager leur idéologie fumeuse du réchauffement anthropique, et pour instaurer toutes sortes de mesures coercitives et punitives pour « sauver le monde » © et vider les porte-monnaie.

La montée des océans et la fonte des calottes glaciaires

La remise en cause d'un "inéluctable waterworld" à brève échéance est un des sujets les plus cenSSurés sur les différents RS, plateformes et moteurs de recherche.
On y pourchasse moins les délires faisant l'apologie du nazisme !

Les faiseurs d'opinion ne supportent pas qu'on égratigne un mantra simpliste qui parle au grand public, et sur lequel repose depuis plus de 30 ans la panique d'un nouveau déluge imminent.
Il faut croire sur parole les astrologues du GIEC et s'en remettre à la bienveillance des gouvernements corrompus aux ordres des banksters.
Interdit d'avancer des éléments scientifiques réfutant leurs hypothèses. Les intérêts financiers en jeu sont trop importants !

Au cours des 20.000 dernières années, un court instant à l'échelle géologique, la terre a connu des périodes chaudes et froides, avec des montées et des baisses du niveau des mers. Il y a 20.000 ans, nos lointains ancêtres accédaient à pied sec à la grotte Cosquer. Ensuite les niveau des mers et des océans a augmenté d'environ 100 mètres à la fin de la dernière glaciation du pléistocène, noyant la Manche et les Pays Bas (la transgression flandrienne) Un réchauffement sans doute provoqué par les camions, les trains et les avions des Cro Magnon.

Ce phénomène naturel de réchauffement-refroidissement est très bien expliqué par les *cycles de Milankovitch*. Les cycles climatiques longs (millions d'années) courts (siècles) et moyens, sont fonction de l'activité solaire, des variations d’orbite de la terre, des changements de son inclinaison et de son axe de rotation. Avec à la marge les grandes éruptions volcaniques.
L'homme n'a rien à y voir.
Chaque fois, quand la température augmente, l’eau des océans se dilate et certains glaciers fondent. Quand la température diminue, les glaciers se reforment, découvrant d'anciens rivages. C’est une constante astronomique et non une spécificité de notre temps, propre à terroriser les ignares.

Les alternances de chaud et froid se sont reproduites maintes fois, la dernière à la fin du petit âge glaciaire qui dura de 1350 à 1850. À l'issue de cette période, les températures mondiales ont recommencé à augmenter. Très lentement. La révolution industrielle survenue au cours de cette phase n'a pu avoir qu'une incidence mineure. Mais elle a servi de point de départ à des climatologues en quête de notoriété, dont les chefs de file n'avaient qu'une expertise limitée dans ce domaine. La plupart des suiveurs ont pris ensuite le train en marche parce qu'ils ont pensé que cela pourrait favoriser leur carrière.

Si le niveau de la mer est actuellement à la hausse, de l'ordre de 1,5 millimètre par an, cela n'implique en aucune façon une inondation inexorable des îles basses et des rivages. Car les alluvions des deltas (Bengale, Mississippi) compensent les pertes tout en se déplaçant, créant de nouvelles terres là où il n'y avait rien.
De même observe-t-on un exhaussement de la plupart des atolls et une augmentation de leur surface, du fait de la sédimentation corallienne associée à des phénomènes locaux de volcanisme ou de mouvements de la lithosphère. A défaut, les motus restent stables.

Quant à l'engloutissement de Venise, c'est une des plus belles escroqueries intellectuelles des réchauffards. La « Cité des Doges» s'enfonce lentement dans son substrat vaseux sous son propre poids. Un phénomène déjà observé au quattrocento, et amplifié par les remous des hélices des motoscafi et des paquebots de croisière qui rongent le rivage et ses soubassements. 
Il est absurde de soutenir que son lagon isolé de l'Adriatique, bras de mer resserré dans une mer fermée, serait en train de déborder ! Les "experts" du GIEC n'auraient-ils jamais entendu parler des marées barométriques qui peuvent s'associer aux vent de secteur Sud pour provoquer des variations du niveau de la mer de l'ordre de un mètre cinquante ?

Si on évoque la fonte des calottes polaires, il faut étudier les observations faites depuis l'espace. Une partie de la glace fond. Mais les chutes de la neige qui se tasse forment de nouvelles couches de glace, compensant et même dépassant cette déperdition. Ainsi les glaciers du Groënland ont grossi en 2017, une info que les médias main stream ont préféré minimiser ou ignorer.
Plus généralement, dans l’Arctique le volume des glaces varie depuis plus de 10 ans.
Et si l'on observe des retraits permettant d'espérer rouvrir le mythique passage du Nord-Ouest, emprunté dès 1906 par Amundsen, ailleurs la densité et la surface de l’inlandsis augmentent. En partie sur terre et en partie sur mer dans des proportions comparables. 

Quant à l'Antarctique, les données des satellites confirment les relevés in situ depuis plus de 20 ans : Les vallées du « continent blanc » sont de plus en plus froides, et les glaciers de plus en plus épais augmentent en surface et en volume. Débordant loin dans l'océan, les courants marins et les vents froids qu'ils produisent  entraînent une baisse sensible des températures dans l'hémisphère Sud.
Ainsi en 2019 a-t-on relevé à Tahiti des températures inédites de 16°C le matin au bord de l'eau.
Et on commence à trouver des otaries sur les plages de Polynésie !

En rouge l'observation effective des températures au Pôle Sud qui décroissent, en bleu et bleu pointillé les modèles et tendances selon les astrologues du GIEC 

La supercherie des glaciers himalayens

À l’échelle mondiale, les glaciers de montagne n'exercent qu'une incidence marginale sur les climats. Pourtant en 2010, le GIEC a publié un rapport affirmant que tous les glaciers de l'Himalaya auraient fondu d'ici l'an 2035 avec des conséquences désastreuses sur le niveau des océans. Vérification faite, les astrologues du GIEC avaient interverti les chiffres d'une étude évoquant cette possibilité pour 2350.
Les prétendus « savants » avaient écrit dans leur rapport AR4 que « au rythme actuel, les glaciers de l’Himalaya auront reculé de 500 000 km2 et disparu d'ici l'année 2035 ». Alors que les glaciers de l'Himalaya occupent une surface totale de 35.000 km2. Cela figure dans n'importe quel manuel scolaire !

Après enquête, il est apparu que l'étude menée par des « experts éminents » avait été publiée par le WWF, le fonds pour la préservation de la faune sauvage, qui n'a aucune compétence en matière de glaciologie... Derrière ces incohérences, un nom apparaît de façon récurrente : celui de Rajendra Pachauri (mort début 2020) L'homme était ingénieur ferroviaire ! Comme Jean Jouzel son homologue français est ingénieur atomiste... La climatologie a du être leur violon d'Ingres.

Pachauri patron du GIEC indien était aussi président du TERI (The Energy and Resources Institute) une entité liée au groupe industriel TATA : Aciéries, usines de fabrication de véhicules, centres de télécoms, commerce agroalimentaire, holdings financières... Pour un chiffre d'affaires de l'ordre de 110 milliards de dollars US.
La préoccupation réchauffiste de ces capitaines d'industries relève d'une vocation vraiment tardive !

Pachauri aurait embauché comme « distinguished Fellow » le promoteur de l'étude catastrophiste menée par WWF, un certain Syed Hassain, qui a tout nié en 2017 quand une enquête préliminaire a été ouverte.
Là dessus, un troisième comparse Sri Murai Lal a affirmé dans une interview au "Daily Mail" que les rédacteurs du GIEC savaient parfaitement que les prévisions concernant les glaciers de l'Himalaya étaient infondées, mais considéraient que le discours sur la fonte des glaciers servait à encourager les décideurs politiques à passer à l'action. Et à la caisse.

En d'autres termes, Sri Rajendra Pachauri a délibérément publié un rapport qu'il savait erroné sinon falsifié. Puis il s'en est servi, avec le concours de Syed Hassain pour récolter l'équivalent de plusieurs millions d'euros au profit de l'institut qu'il dirigeait. Peut-on encore parler de science ?

Une pseudo-science bancale

Les écolo-réchauffistes sont tellement peu sûrs de la validité scientifique de leurs arguments, qu'ils appellent en renfort la justice pour museler leurs contestataires et pourrir la vie de ceux qui émettent des doutes sur leur dogme.
Or la science ne se démontre pas avec des procès en sorcellerie menés par des grands inquisiteurs !

Le milliardaire Al Gore associé à Goldman Sachs voulait instaurer un crime mondial de climato-scepticisme puni par des juridictions spéciales type Nuremberg !
Douter du réchauffisme = nazisme !
Idée reprise par William Stanford Nye, influent animateur de télé et leader d'un lobby réchauffiste comprenant plusieurs personnalités du GIEC, qui fait campagne dans ce sens. Démolir les élucubrations ascientifiques des réchauffistes devrait vous envoyer faire connaissance avec les flammes de l'enfer !

Dans un mode plus soft, la ministre de l'enseignement supérieur en France où désormais seul le réchauffisme a droit de cité a commencé à exclure de l'université les climato-réalistes, en les privant de chaires, de crédits de recherche, d'assistants et de labos. Et en ordonnant que soient rejetées toutes leurs publications, et refusés tous les sujets de thèse contraires à la doxa.
Tandis que dans le primaire et le secondaire sévit un matraquage réchauffiste qui n'a rien à envier à la propagande des komsomols d'antan.

Et tant pis s'il a commencé à neiger fin août 2020, et si la couche dépasse 30 cm fin septembre dans les Alpes et les Pyrénées, infirmant les prédictions du GIEC selon lesquelles toute les stations de ski seraient définitivement privées de neige au plus tard en 2015...
Tant pis aussi, si des astrophysiciens considèrent comme possible un nouveau minimum de Maunder aux alentours de 2030, la baisse de l'activité solaire observée depuis 2015 impactant tous les climats de la planète.
Mais si la réalité n'est pas conforme à l'idée que s'en font les réchauffards psychorigides, c'est forcément la réalité qui se trompe !

Ainsi l'alarmisme climatique sert à booster les carrières de scientifiques de second ordre, dont la docilité est la principale qualité...  Pour permettre à des politiciens à la ramasse de rebondir sur les vieilles peurs millénaristes... Et pour justifier une fiscalité punitive qui profitera à l'économie "verte" aussi inapte à recycler ses déchets et aussi polluante que l'autre, mais différemment. Et beaucoup plus profitable.

Et si ça vous intéresse, regardez Les cycles de Milankovitch pour les nuls : 😃
















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