samedi 28 décembre 2019

Réchauffards : Le casse du siècle

 Goldman Sachs (qui n'est pas le cousin de Gunther Sachs l'ex de Bardot) a été un des premiers  «réchauffistes-citoyens ». Il y a empoché 10 milliards de dollars. Et tandis que le troupeau apeuré pousse ses clameurs de pleureuses, d'autres se frottent les mains à l'idée des profits qu'ils vont engranger. Et peu importe que ça réchauffe un peu, beaucoup ou pas du tout, c'est du pareil au même...
Le web c'est dépassé. Les start up de demain capables de fabriquer des milliardaires à la pelle, on les trouvera (on les trouve déjà) dans le business vert.

Quelques broutilles pour commencer :
Vice-président à 44 ans, avec son brushing impeccable, son sourire faussement modeste et son costard de gérant d'hôtel classieux, Al Gore avait tout pour inspirer confiance. Pour sûr vous lui auriez acheté sans hésiter un aspirateur, un presse-agrumes ou une voiture d'occasion.
Brillant économiste selon ses hagiographes, Albert Junior est tout juste bachelor of arts, l'équivalent d'une licence de lettres en France. Il poursuivra ensuite des études de droit sans parvenir à les rattraper. Bagage scientifique zéro. Pas de quoi se pâmer.
Mais l'homme est un démagogue et un opportuniste. Il dit aux gens ce qu'ils ont envie d'entendre. Il n'en faut pas plus pour siéger plusieurs fois au Congrès, puis au Sénat. Élu du Dakota du Sud, c'est un démocrate conservateur. Il changera même de camp pendant quelques années, soutenant George W. Bush, avant de revenir à son ancien parti. On peut dire que c'est un homme de convictions qui a de la suite dans les idées... Au moins pour son plan de carrière.
Alors qu'il est en pleine déprime, suite à des problèmes familiaux, il trouve refuge dans les mondes virtuels où il acquiert sur le tas une certaine expertise. Bill Clinton le choisit comme colistier, en se disant qu'il n'a rien à craindre d'un geek... C'est là pour Al Gore l'occasion de sortir de l'ombre en empruntant des chemins non balisés.

Il embrasse la cause réchauffiste comme un poivrot embrasse un réverbère.
Sans objectif ni discernement au départ. Mais cela plaît à son patron parce qu'il l'aide à ratisser large. La suite, tout le monde connaît : des discours creux et lénifiants sur les méchants industriels réchauffeurs que l'administration Clinton fait tout pour garder en Amérique, des apparitions sur les télés où son look de VRP de choc plaît bien aux ménagères de plus de 50 ans, et couronnement : le merchandising de son nom et de son influence politique auprès des médias.
Cela commence, alors qu'il est vice-président depuis moins de 2 ans, par la fondation de la chaîne câblée Current TV, supervisée par une « non profit organization ». C'est-à-dire une entité qui utilise son excédent de recettes dans un but désintéressé, plutôt que de distribuer des revenus aux actionnaires et aux dirigeants. Ces organismes sont exonérés d'impôts s'ils fonctionnent dans des contextes religieux, scientifiques, de recherche ou éducatifs. L'écologie et le réchauffisme répondent à ces 4 critères !
Il faut avoir vraiment mauvais esprit pour se demander comment Bébert a fait pour vendre sa télé écolo non lucrative au Qatar en 2013 pour la modeste somme de 400 millions de dollars. Une forme de rédemption (est-ce que ça existe aussi chez les mahométans ?) pour ce pays, champion du monde d'émission de CO2 par habitant qui rejette 3 fois plus de gaz qu'un Américain, 10 fois plus qu'un Chinois et 37 fois plus qu'un Indien.

Du business sérieux enfin avec Goldman Sachs 
N'étant plus vice-président en 2004, le nouveau chômeur Gore se trouve un petit boulot sympa. Il cofonde avec David Blood, directeur de la gestion d'actifs de Goldman Sachs « Generation Investment Management ». Un fonds d'investissements dans l'économie durable que Gore dirige. Cette boîte recueille 5 milliards de dollars de capitaux placés, en provenance du monde entier et en particulier de la part de nombreux fonds de pension américains. Dont certains seront en faillite en 2008. Tant pis pour les petits vieux et les petites vieilles qui se retrouveront balayeurs ou femmes de ménage à 80 ans.
Pour sauver la planète, la boîte de Gore « mène des recherches » dans le domaines des éoliennes et des panneaux solaires, où il n'y a plus grand chose à trouver sinon des acheteurs... Tout en investissant dans les nouvelles technologies et l'immobilier, deux valeurs plus sûres. Sans oublier de mettre en vitrine la « citoyenneté responsable ». Ça ne veut rien dire mais c'est tendance.

Et si vous aimez les films Gore demandez le programme : Le commis-voyageur joue son numéro de prophète inspiré dans le pseudo-docu aux courbes truquées (même le GIEC acculé le reconnaîtra !) réalisé par David Guggenheim « An Inconvenient Truth » présenté au Festival de Cannes de 2006.
À défaut de palme d'or, ce navet rapportera les 740.000 euros du Nobel de la paix, un pourboire à partager avec ses comparses du GIEC.
Petit bémol : un juge anglais (peuvent pas filer droit comme tout le monde ces Brittons ?) décide en 2007 que « la diffusion de ce film de propagande dans les écoles doit être accompagnée d'une mise en garde, exposant les différents points de vue sur le sujet, afin de respecter les lois demandant une expression équilibrée des idées politiques dans les établissements scolaires. » 
Dix ans plus tard, la suite « an inconvenient sequel » de Bonni Cohen et Jon Shenk où Gore pose en télé évangéliste fait un bide malgré la promo frénétique des médias.

En 2008 les avides et les cupides frôlent la catastrophe
Par chance Goldman Sachs pourra continuer à œuvrer dans l'économie durable pour le bien de l'humanité. Ruiné par les subprimes, une aide de 10 milliards de dollars alloués par l'État fédéral remet à flot ces philanthropes.
On tremble rétrospectivement à l'idée qu'on aurait pu voir les membres du conseil d'administration tendre leur écuelle à la soupe populaire... Parmi eux, 4 anciens secrétaires au trésor US, un ex secrétaire d'État, une brochette de sénateurs et de gouverneurs... Sans oublier les 2 estimables Mario : Monti président du conseil non élu imposé à l'Italie par l'Eurocrature, et Draghi alors président de la banque centrale européenne. Je me suis laissé dire qu'une place au chaud attendait Macron quand les Français l'auront viré.
Assez inquiétant, à la même époque, Gore devient un important actionnaire et conseiller de Google, où il prétend imposer de nouveaux algorithmes orientant la hiérarchie des résultats vers la bonne pensée écolo-citoyenne. La majorité des administrateurs le contre pour ne pas perdre de la crédibilité au profit de MSN, Bing et autres moteurs de recherche.

La contribution climat-énergie
C'est le nouveau nom de la taxe carbone dite aussi « pigouvienne ». L'obscur Arthur Pigou mort dans les années 50 n'avait rien à voir avec le réchauffisme. Ce keynesien britannique proposait d'orienter les acteurs économiques dans le sens souhaité par l'État grâce à la fiscalité. Mais retenez le mot, affirmez être pigouvien, vous aurez du succès dans les soirées chicos. Les bimbos y verront une sexualité audacieuse.
Sur un mode moins léger, Al Gore utilise son carnet d'adresses pour se lancer dans le négoce de certificats d'émissions de CO2. Le CO2 c'est l'abomination absolue. L'horreur qui conduit tout droit à la fin du monde. Sauf si on raque un max pour avoir le droit de findumondiser.
« Cupidité sans frontières » enrôle l'Eurocrature qui se met à son tour sur les rangs de la vente de permis de findumondiser, mais avec des moyens plus modestes... Tous ces gens sont de sacrés échangistes mais n'imaginez rien de scabreux. C'est plutôt :
- Allez, je t'échange 250.000 tonnes d'hydrocarbures perfluorés contre 500.000 tonnes de dioxyde de carbone.
- D'accord si tu ajoutes 80.000 tonnes de protoxyde d'azote. C'est un deal honnête, non ?
- Okay je marche, à condition que ta télé embauche ma fille comme chef du JT et qu'elle invite mes experts chaque fois qu'il sera question de pollution.
- Si ça peut te faire plaisir... Adjugé, c'est vendu ! 
- Parfait, on peut déboucher le champagne !
- Mais ce breuvage est plein de CO 2. Tu es sûr que ça ne va pas nous empoisonner ?

Le réchauffisme nous gonfle les bourses
Présenté comme une urgence planétaire absolue, le réchauffisme est une belle opportunité pour les entreprises et les pays qui savent se positionner au bon endroit au bon moment. En d'autres temps, ils auraient vendu des indulgences pour le paradis ou des abris anti-atomiques... La peur, la bêtise et le panurgisme sont les meilleurs alliés de ces mercantis. À défaut, on créera un délit d'opinion de climato-scepticisme. La prétendue urgence climatique est le nouveau lyssenkisme. Une pseudo science mise au service d'une idéologie politique.
Le premier profiteur du réchauffisme a été le lobby nucléaire. Les radiations atomiques n'émettent pas de CO2. La théorie réchauffiste fut inventée par un groupe d'ingénieurs atomistes anglais sur l'instigation de Margaret Thatcher, co-fondatrice du GIEC, qui voulait mater les syndicats de mineurs. En France, les réchauffards viennent aussi de l’industrie nucléaire. Jean Jouzel, ancien directeur de recherches au CEA (commissariat à l'énergie atomique) s'est soudain converti à la climatologie.

Priorité aux requins gloutons, oublions les rémoras qui ramassent les miettes : vendeurs de clim « promo canicule mondiale », spécialistes en isolation thermique et chauffage solaire « agréés » (par quel parti ?), tueurs d'oiseaux avec leurs éoliennes. Le scénario est toujours le même avec ces opportunistes : harcèlement téléphonique, promesses fallacieuses, labels bidon, devis non tenus, malfaçons, SAV inexistant... C'est lamentable mais ce n'est rien en comparaison de la malfaisance des financiers qui tirent les ficelles des marionnettes qui croient diriger les États.
On l'a dit et redit, ça ne chauffe pas partout pareil, il y a même des coins où la température baisse comme au pôle sud. L'important serait de savoir à l'avance où, comment et de combien, sans se fier aux prédictions des devins du GIEC.
Or les progrès de l'informatique et de l'astronomie grâce aux télescopes spatiaux permettent de modéliser les cycles de Milankovitch avec une finesse nouvelle : L'excentricité, l'oblicité, la précession ne sont plus des données approximatives déduites de courbes reconstituées, mais des data en rafales et en temps réel, à plusieurs chiffres après la virgule, ce qui change tout au niveau de la précision. Et des chronologies... L'outil doit être encore perfectionné. Mais déjà, il ne faut plus 150.000 ans pour voir où on va. De quoi refroidir les réchauffards.

Les Anglais
Ils ont déjà les îles Scilly qui, grâce au gulf stream, ont un climat quasi-méditerranéen. Ils rêvent de voir les cocotiers, les manguiers, les goyaviers et les papayers pousser jusqu'à Londres, ça leur rappellerait leurs colonies perdues... Et des orangers et des citronniers égayant les mornes campagnes des Midlands et du Yorkshire. Plus tard, quand il fera vraiment chaud, les bananes mûriront en Écosse.
Dans cette hypothèse, le sud de la France ressemblerait au Sahara et le Sahara à la planète Mars. Mais pas avant 300 ans... Sauf si un léger ralentissement des éruptions solaires et un léger redressement de la terre sur son axe, venaient compromettre les remontées du Stock Exchange. En attendant, des complexes touristiques de luxe et des business centers haut de gamme poussent comme des champignons. Climatisés et recyclant leurs effluves, anticipant le cataclysme prophétisé. Les levées de fonds montent plus vite que le thermomètre. La City est en surchauffe.
"Il vaut mieux pomper au risque qu'il ne se passe rien, plutôt que de risquer qu'il se passe quelque chose si on ne pompait pas". Votez Shadok !

Le grand Nord 
Canadiens, Alaskiens et Russes étudient sérieusement la possibilité d'ouvrir une voie maritime dite « passage du Nord Ouest » aux mois les plus favorables de l'année. Il se trouve que la banquise, contrairement à ce que racontent les réchauffistes, ne fond pas partout pareil. Il y a des endroit où elle progresse, d'autres où elle régresse. Par chance, elle régresse là où des tankers et des porte-containers pourraient passer, réduisant de 4000 Km la distance par rapport au transit par Panama. Donc avec moins de temps, de carburant et de pollution. Les premiers convois se forment et expérimentent. Et les ours blancs éberlués regardent passer les navires.
Pour les Américains, les canaux entre les îles sont des détroits internationaux de libre accès. Pour les Canadiens ce sont leurs eaux territoriales. Ils espèrent en tirer une taxe de péage. Les Russes se rangeront du côté des Américains. À moins que les Canadiens signent avec eux des joint ventures pour la prospection pétrolière et minière sur leurs îles et leur plateau continental. Les enchères sont ouvertes... Le FMI qui a flairé l'argent facile est entré dans la danse, c'est un signe.
Pour l'anecdote, la marine russe a découvert 5 nouvelles petites îles autrefois sous la glace. Vladimir Poutine qui ne croit guère aux lubies et lobbies du réchauffisme, déclarait, sarcastique, qu’une augmentation de quelques degrés serait une chance pour la Russie. On pourrait enfin cultiver des tomates et des fraises en Sibérie. Quand les Américains feront pousser des cocotiers en Alaska.

La péninsule arabique :
Depuis que les usines de dessalement de l'eau de mer sont bonnes à mettre à la casse du fait de la corrosion galvanique, on envisage de remorquer des icebergs jusqu'au golfe arabo-persique. En les traitant correctement (on sait faire) on récupérerait de l'eau douce et l'évaporation modifierait légèrement le climat local. La principale difficulté est leur transport car ils fondent en chemin. C'est un peu ennuyeux, ça...
Or l'hémisphère Sud se refroidit. C'est une conséquence du réchauffement parce que « plus il va faire chaud, plus il fait froid pour commencer ». Les astrologues du GIEC sont aussi des humoristes. Les rois ont toujours eu leurs bouffons.
Si ce phénomène se confirme, on aurait une zone d'extraction plus loin du continent antarctique, des glaciers plus volumineux se fracassant dans la mer, et un océan moins chaud pour les remorquer. On se prépare donc à accueillir les méga-glaçons. Mais pour ça, il faut des chambres froides géantes. Et des complexes industriels pour recycler l'eau. Un marché autrement plus fabuleux que celui des stades climatisés. C'est irréaliste ? Et alors, point n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer ! ©

La glace permettrait de blanchir l'argent sale :
Modus operandi : tu es un narco qui a un milliard de dollars dans tes lessiveuses. Pour les en sortir sous le nez de la DEA, tu passes par un trustee dans un paradis fiscal, qui achète des vieux cargos destinés à tracter les icebergs. Sous pavillon de complaisance, cela va sans dire. Te positionner comme prestataire de services permet d'éviter les contraintes des usines à terre. Parce que les immobilisations c'est moins souple que les capitaux flottants (!)
Au bout d'un an, avec un bon bilan truqué, tu revends tes parts à des gogos, perdant au passage quelques millions de bakchichs. Pas grave, tous frais déduits, il t'en reste environ 900 sur le compte d'une société écran dans une banque du Golfe. Tu peux alors placer tes fonds en Europe ou en Amérique dans l'économie licite. Associé à un cheikh approvisionné, tu cotes à Wall Street où tu deviens intouchable.
Vous ne croyez pas que l'hémisphère sud se refroidit ? On n'a jamais vendu autant de couvertures polaires à Tahiti depuis 2015. Et les doudounes matelassées arrivent.

L'empire du milieu ne fait pas les choses à demi
La Chine voit son sud tropical peu impacté par d'imperceptibles variations du climat et apprécierait pour son agriculture si, d'aventure, il faisait un peu plus chaud au centre et au Nord du pays, ce qui n'est pas le cas. En attendant, l'ex pays le plus pollué du monde perd sa mauvaise réputation. La politique centralisée nuit certes aux libertés individuelles, mais elle permet de mener des actions collectives cohérentes avec des investissements massifs dans des « villes intelligentes » (en chinois smart cities) s'appuyant sur un écosystème interactif utilisant des transports propres et de la technologie verte. Pour Xi Jinping : « Le but est de devenir la référence mondiale et le modèle à suivre ». La Chine ne copie plus, elle innove. Passez à la caisse si vous voulez qu'on vous vende les technologies idoines.
Personne, chez lui en tout cas, n'aura l'audace de faire remarquer que la Chine a entrepris un grand nettoyage en délocalisant à son tour, chez plus pauvre qu'elle, les activités polluantes et salissantes. Qui finalement ne rapportaient pas grand chose. Avec un temps de retard, l'Inde suit le même chemin.
Mais alors où iront les poubelles du monde ? Réponse : chez ceux à qui on ne laissera pas le choix !

L’ingérence climatique, le nouveau colonialisme 
Et si c'était ça, le but ultime de l'alarmisme climatique ? Forcer les politiques régionales à s'adapter à la globalisation ? Se donner le droit d'aller chez ceux qui n'obéissent pas assez vite aux injonctions de la mondocrature pour les contraindre à faire ce qu'on exige d'eux ? Dans leur intérêt. Bien évidemment. Le club Bilderberg, la commission Trilatérale, les forums de Davos et la fondation des Young Leaders sont prêts à faire profiter de leurs lumières tous les égarés. Pour « sauver la planète ».
Parmi leurs idiots utiles, le GIEC avec un budget de « recherche » de 6 millions d'euros en 2018. Pour des séances de brain storming ? Car ceci n'incluait pas les salaires, primes, frais d'hébergement, de déplacement et de banquets, versés aux « chercheurs » par les 159 états membres. Les USA ayant cessé de raquer, la France a spontanément ajouté un millions d'euros de sa poche. Enfin, je veux dire piqués dans les vôtres.
À côté les 100.000 euros annuels défalqués à Ségolène Royal (qui nie) Ambassadrice des Pôles, sont une aumône... Elle ne s’est jamais rendue au conseil de l’Arctique depuis sa nomination en 2017. Tandis que ses collaborateurs, payés par le Quai d’Orsay, auraient participé à la promotion de son dernier livre et à la gestion des activités de sa fondation. Pas manchots ces pingouins réchauffards !

L'urgence climatique sert aussi à imposer des déplacements de populations
Là où les Maîtres de la Finance ont besoin de renouveler leur cheptel d'esclaves. Comme tout le monde ne peut pas se prétendre persécuté politique, les faiseurs d'opinion consolident un nouveau concept : celui de « réfugié climatique ». Qu'on ne peut pas refuser d'accueillir. À moins d'être des monstres conspués par la vertueuse communauté internationale. Et d'en subir les représailles.
On est en train de nous faire le coup avec le Sahel. Comme on a réussi à déporter en Nouvelle Zélande des habitants des Kiribati qui n'avaient rien demandé, en prévision de l'engloutissement de leurs îles en 2020. Parole de GIEC. Vivant heureux chez eux dans une société océanienne traditionnelle, ces gens sont aujourd'hui parqués dans des suburbs où règnent la violence, la drogue, le suicide et le racisme. Pas vraiment ce qu'on leur avait promis en les faisant déménager pour échapper à la fin du monde.
Combattre le prétendu réchauffement climatique est bien une façon de légitimer l’ingérence des grandes nations dans les affaires intérieures des pays considérés comme plus faibles. On l'a vu lors des récents feux de forêts en Amazonie, où Macron qui n'a jamais protesté quand Poutine organisait la déforestation sauvage du Kamtchatka, proposait de créer une task force pour mettre Bolsonaro sous tutelle. Talonné par des banksters impatients qui ne supportent pas que les richesses du Brésil puissent leur échapper au profit d'entrepreneurs locaux.
Ainsi la menace d'ingérence climatique devient un argument de choc dans les négociations internationales pour faire basculer les rapports de force par le chantage, l'intimidation ou la corruption. Et obtenir des avantages substantiels par le biais d'un discours moralisateur sur le climat, élevé au niveau de justification ultime, comme l’était le « devoir moral de civiliser les sauvages » il y a 250 ans. 

Atolls du Pacifique : une gifle pour le GIEC

Les écolos sont des politiciens comme les autres. Ils inculquent ce qui les arrange et occultent ce qui les dérange.
Une spéculation simpliste les a conduits à prêcher que les atolls seront les premiers engloutis lors du prochain déluge. Alors, quand à la COP 23 de Bonn (6 au 17 novembre 2017) des scientifiques exposent que leurs études ne montrent pas une réduction significative de la surface des atolls... Mais mieux encore, qu'ils observent dans de nombreux cas, une augmentation de la surface des terres émergées... Les sauveurs de la planète et les perroquets des médias préfèrent ignorer cette hérésie.

Le fonds de commerce des nouveaux prophètes

Le GIEC venait de naître. Il fallait braire avec ses gurus. Garantie d'une carrière avantageuse pour les uns et de juteux contrats pour les autres.
Partant d'observations locales effectuées au début des années 1990, les prophètes de malheur ont extrapolé à partir d'une montée du niveau du Pacifique de l'ordre de 2 à 3 mm par an pour en déduire que tout allait disparaître comme au dernier jour des soldes !
Ces « savants » n'avaient sans doute pas entendu parler des marées barométrique, des violents courants dans les passes, de l'érosion des rivages par les houles et des conséquences des cyclones, qui faussent les mesures. Avec autant de conséquences positives que négatives puisque ce qui est enlevé d'un côté est redéposé de l'autre... En témoignent les villages abandonnés au fil des siècles et reconstruits sur un autre motu en fonction des variations de la géographie locale. Les farés en niaou (feuilles de cocotier tressées) ne sont pas datables, trop mêlés aux autres débris végétaux quand il en reste. Mais les ossements humains et les parcs à poissons en pierres de corail datés au carbone 14 ne laissent planer aucun doute. Depuis toujours les atolls sont des structures vivantes, évolutives, auxquelles les hommes s'adaptent.
À partir de l'an 2000, les états concernés se mirent à dépenser des sommes considérables pour acquérir des appareils de calcul sophistiqués, louer du temps de mesure des satellites, et embaucher des experts en réchauffement climatique grassement payés. Plus souvent sur leur planche de surf que derrière leurs ordis. L'un d'eux que j'asticotais gentiment m'a avoué : « Je suis là pour finir tranquillement ma thèse. Alors j'écris ce qu'on me demande ! »
Tout ce petit monde avait oublié que depuis les années 1950, des relevés aériens étaient régulièrement effectués et donc qu'on disposait d'une base de données comparatives sur plus d'un demi-siècle.

La mer remonte moins vite que la terre !

Virginie Duvat, géographe à l'université de La Rochelle et chercheuse de terrain jette un pavé dans le marigot de la pensée unique en publiant une étude sur quatre atolls des Tuamotu en Polynésie française : Rangiroa, le plus peuplé et urbanisé, Tikehau, Mataiva et Takaroa, plus ruraux. En tout 106 motus de tailles diverses. Elle constate que depuis le début des années 1960, 28 ont perdu de la surface, 39 se sont agrandis et 35 sont restés stables. Un seul motu a disparu, car il a servi de carrière pour agrandir un autre îlot. Et trois nouveaux îlots se sont formés !
Les phénomènes d’érosion sont les plus marqués là où les Paumotu ont agrandi leur territoire en empierrant des terre-pleins, et en construisant des pontons, des digues et des ports, sans mesurer l'impact que ces aménagements avaient sur l’environnement. Les remblais, les terre-pleins et les murets préconisés par des ignares catastrophistes, loin de protéger la côte la détruisent ! Mais au paradis comme ailleurs, les conseilleurs ne sont pas les payeurs.
Quand la côte est bordée d’ouvrages, elle ne peut plus être nourrie en sable, en corail et en sédiments apportés par les vagues et les courants marins. Cela entrave le phénomène naturel d'exhaussement, c’est-à-dire le gain faible mais constant du terrain en volume et en hauteur. L'argument de l'augmentation du CO2 dissous dans l'océan augmentant son acidification et entraînant la mort des coraux à terme se retourne contre lui même. Puisque les coraux morts contribuent à renforcer les rivages en s'y accumulant, et souvent servent de substrat à des madrépores vivants eux aussi apportés par les mouvements de l'océan.

Virginie Duvat récidive quelques années plus tard en publiant une étude élargie portant sur une centaine d'îles dont 400 motus du Pacifique : archipel Marshall, Kiribati, Tuvalu, États fédérés de Micronésie, Tuamotu sont au programme. Une belle balade... La statistique confirme et renforce les premières observations : 77 % sont stables, 15 % sont en expansion et 8 % en légère régression. En d'autres termes, si le niveau de la mer monte un peu, les îles montent encore plus vite.
Par ailleurs, des sismographes ont enregistré un peu partout des signaux liés aux mouvements tectoniques provoquant une dilatation du magma qui pousse vers le haut. Outre quelques volcans actifs, on trouve en Océanie des dizaines de volcans en sommeil mais pas éteints, et en Polynésie française Mehetia entre Tahiti et les Tuamotu mérite le détour. À cela s'ajoute la sédimentation. On est loin du déluge annoncé par les prophètes du GIEC. Ces conclusions ont de quoi faire avaler son dentier à l'inénarrable Jean Jouzel, ingénieur atomiste réputé mais pas plus géologue, climatologue ou biologiste marin que je suis archevêque.
Un autre phénomène surprend parce qu'il contrevient à ce qu'on croyait jusqu'alors : aux Tuamotu, après le passage d'un cyclone, si le littoral a été fortement érodé à certains endroits par la tempête, ailleurs on constate des dépôts très importants de sédiments. Et les deux s'équilibrent. Les seules victimes sont les cocotiers décapités. Et les enfants qu'on n'a pas eu le temps d'attacher à un tronc.

Le cas hyper médiatisé des Kiribati

Pour les médias panurgiques, cet archipel devait être le premier à morfler. Un engloutissement digne des plus spectaculaires films catastrophes avec ses cadavres emportés par les éléments, les requins qui rappliquent pour se régaler, les cohortes de réfugiés climatiques affamés et hagards, l'insuffisance des secours face à l'ampleur du désastre, les bateaux qui coulent après avoir été pris d'assaut par les désespérés et les hélicos trop lourdement chargés qui se crashent.
Un bon astrologue ne doit jamais donner de date sinon la réalité le rattrape. En 1990 le GIEC avait prédit qu'au plus tard en 2020, les Kiribati seraient entièrement submergées. Des vidéos soigneusement sélectionnées abondaient dans ce sens. Y compris quand l'inondation résultait de pluies diluviennes très vite évaporées.
Quoi de plus spectaculaire que ces habitations les pieds dans l'eau hors publicité de tout promoteur ? En ignorant que ce n'est pas un hasard si les farés traditionnels étaient sur pilotis pour anticiper les inondations produites par les houles et les tempêtes, ce qui n'est plus le cas des maisons modernes construites à même le sol. Et en oubliant que les zones submersibles étaient considérées de tout temps comme une providence, un don des dieux, car quand l'eau se retire on fait des pèches miraculeuses. Mais bon, on ne peut pas demander aux devins de tout savoir.

Les « savants » autoproclamés annonçaient qu'au premier cyclone passant par là, ce qui restait de ces malheureuses îles serait balayé. À part que ces îles sont situées très près de l'équateur. Et que la force de Coriolis qui fait tourner les cyclones y est nulle.
Certes le danger pourrait provenir des grosses houles produites par ces phénomènes extrêmes, mais en même temps elles apporteraient des matériaux pour reconstituer le rivage. À condition qu'on le débarrasse de toutes les excroissances disgracieuses supposées le protéger alors que cela produit l'effet inverse.
Une solution serait de planter des miki miki (pemphis acidula) dont les Paumotus ont depuis longtemps compris l'intérêt. Ces arbustes de bois très dur, hauts de 3 à 5 mètres, apprécient les sols calcaires salés, peuvent se passer d'eau douce et ont des racines assez fortes pour solidifier leur emprise. Normalement ses graines sont apportées par la mer mais rien n'interdit d'aider la nature.

Des trucages bien orchestrés

Au hit parade du bourrage de crâne et des fakes, 2 faits réels ont été détournés : D'abord les mouvements de population déjà observés, présentés avec insistance comme le début de l'exode, mais qui n'ont rien à voir avec la catastrophe climatique annoncée. Les micro états du Pacifique (sauf la PF et Hawaï parce qu’ils sont sous la tutelle bienveillante de grandes nations) font quasiment partie du quart monde. Grande pauvreté et désert sanitaire. Quand c’était possible (double nationalité ou états associés) la moitié sinon les 2/3 des populations ont déjà émigré en Australie ou en NZ. Il s’agit donc d’exilés économiques, pas de migrants climatiques.
Ensuite dans le cas du Kiribati, des études récentes ont montré que l’affaissement spectaculaire de certains rivages était lié à l’exploitation excessive des « lentilles » ces poches d’eau de pluie retenues dans le sous-sol corallien. Pour préserver cette ressource, sans nuire au développement touristique, on a installé des petites unités de dessalement de l’eau de mer. Depuis, le rivage s’est stabilisé. Il ne reste plus qu'à attendre que les dépots de sédiments naturels le renforcent.
Cette dernière considération n'est pas limitée aux Kiribati. D'autres atolls acceptant de nouvelles infrastructures touristiques connaissent ce même problème.
Après avoir nié cette explication avec véhémence, les réchauffistes l'ont récupérée en prétendant que la quasi totalité des motus habités allaient s'effondrer parce que l'eau de mer envahirait les lentilles, rongeant les sols et cuisant la végétation. Pour les géologues ce n'est même pas envisageable dans un cas sur 100. Les Austronésiens ne sont pas près de mourir de soif. Même si l'eau douce doit être gérée avec parcimonie. Mais il en a toujours été ainsi sur les atolls.
Ce genre de mauvaise foi est habituelle dans la secte catastrophiste. Ainsi en 2018 quand un banc de sable qui marquait un haut fond à environ 1000 Km au large de Honolulu fut déplacé par une tempête, ils parlèrent d'île engloutie ! Et sans vérifier, les médias dociles entonnèrent la chansonnette.

Les Tuvalu, ces îles qui osent contredire le GIEC

Alors qu’on avait prédit une submersion imminente des Tuvalu (en même temps que les Kiribati) cet archipel polynésien du centre Pacifique voit la surface de son territoire s’étendre de plus en plus. Les USA et l'Australie respirent. Les autorités de Tuvalu menaçaient de les assigner devant la CPI pour « génocide climatique » du fait de leurs émissions excessives de dioxyde de carbone.
Des chercheurs de l'université d'Auckland (NZ) ont publié une étude dans la revue « Nature Communications » pour expliquer pourquoi la réalité n'était pas conforme aux prévisions. Ces scientifiques ont analysé une multitude de photos aériennes et satellites prises entre 1971 et 2014. Ces clichés répertorient les 9 atolls principaux des Tuvalu ainsi que 101 petits motus coralliens. Cette observation sur plus de 40 ans montre que la taille de 8 atolls sur 9 ainsi que celle des 3/4 des îlots coralliens ont augmenté en surface de l'ordre de 3%. Les autres étant sans altération notable. Ce qui devrait inciter Wikipédia à vérifier ses infos apocalyptiques sur ce sujet.

Un tel constat conduit ces chercheurs NZ à inviter la communauté scientifique à repenser sa vision dogmatique des archipels. « Nous avions tendance à considérer les atolls du Pacifique comme des formations géologiques statiques, qui vont simplement être inondées au fur et à mesure de l’augmentation du niveau des océans, mais il existe de multiples preuves que ces îles sont géologiquement dynamiques et en constant changement », indique le co-auteur de l’étude Paul Kench.
Pour expliquer cette tendance, les scientifiques avancent des explications déjà retenues ailleurs : Le mouvement des vagues qui déplace les sédiments, le sable et les graviers qui s’accumulent sur le pourtour des îles. Complétés par les matériaux apportés par les tempêtes qui compensent le phénomène d’érosion côtière, sans oublier la pousse du corail assez rapide pour rendre obsolètes en quelques décennies les cartes marines.
Cette bonne nouvelle ne fait pas que des heureux. Enele Sopoaga, premier ministre des Tuvalu, est très mécontent car il risque de perdre une partie des subventions promises pour l'aider à garder la tête hors de l'eau. Sa suzeraine la reine d'Angleterre devrait essayer de le raisonner, ça lui changerait les idées après les affres du brexit.

Le mythe du continent perdu du Pacifique 

Le thème des îles submergées par un cataclysme n'est pas nouveau. Il parle aux occultistes comme aux complotistes, aux amateurs de merveilleux et de fantastique comme aux nostalgiques d'un paradis perdu par la faute des excès des hommes. Mais jusqu'à notre époque, ce mythe était resté cantonné dans le domaine de l'imagination, du rêve et de la littérature.
En 1926 une ancien colonel de l'armée des Indes James Churchward, publie « Mu le continent perdu ». Selon lui, un continent trois plus grand que l'Australie aurait occupé le centre du Pacifique. Englouti lors d'un grand cataclysme il y a 12.000 ans, il n'en subsisterait que les sommets de ses plus hautes montagnes.
Au plan géologique c'est une aberration. Les fonds du Pacifique là où il place Mu sont vieux de plusieurs millions d'années. Les mouvements qui les ont affectés résultent de la dérive des continents, des jets de magma par les failles et d'éruptions locales étalées dans le temps. Mais les idées de Churchward ont peut-être été inspirées par ces volcans sousmarins peu profonds qui gagnent la surface, parfois l'effleurent, puis s'amenuisent sous l'effet des vagues avant que les coraux aient eu le temps de les coloniser, créant des hauts fonds dangereux pour la navigation.
Au plan civilisationnel par contre, la tentation est grande d'instrumentaliser les ruines mégalithiques de Rapa Nui, celles de Pohn Pei, et les maraés pyramidaux du Fenua. Tous ces vestiges témoignent d'une vaste unité de la culture océanienne validant les thèses diffusionnistes. La linguistique et l'étude des mythes confirme. Malgré les altérations locales inévitables sur des millénaires, il y a trop de points communs et de racines identiques pour que soit une coïncidence. Rien de plus normal car l'océan n'a jamais été une barrière mais un trait d'union pour les Maoris.

Dernière observation

Le réchauffement climatique observé autour des grandes concentrations de population, à proximité des usines et des centres de production, et aux abords des vastes zones désertiques ne nous concerne pas dans nos îles. La masse océanique est un régulateur thermique d'une grande efficacité, les alizés assurent la ventilation et chaque île haute est un microcosme équilibré, favorisé par son aptitude naturelle à emprisonner les nuages pour les libérer en fonction de l'hygrométrie.

COP 25 : La débâcle des imposteurs climatiques


Interdit de séjour sur Facebook

et Twitter


La débâcle des imposteurs climatiques

La piètre COP 25 a fait hurler de rage Sainte Greta, le GIEC et leurs suiveurs. Savent-ils que la défiance des États résulte des procédures judiciaires conduites un peu partout dans le monde contre les imposteurs ? Les États hésitent encore à les bannir et à leur couper les vivres... Mais leurs chancelleries saisies de ces dossiers brûlants leur recommandent de se désengager au plus vite.
Entre chaud et froid, Sahara gate, Malaria gate, Himalaya gate, Banquise gate et Macron gates au pluriel, on retrouve les mêmes méthodes : chiffres truqués, rapports tronqués, tricheries éhontées... Pour soutirer de l'argent au gogos. Or les grands marabouts du climat ne sont pas dispensés de respecter la Loi.
2 milliards et demi de dollars ont été versés en 2015 aux réchauffards bénévoles et désintéressés, et ça n'a pas diminué depuis, bien au contraire :
Al Gore’s Alliance for Climate Protection $19.150.215
Seulement 19 millions de US$ pour Bébert, c'est la honte ! Les autres font nettement mieux :
The Wilderness Society $ 24.862.909
National Parks Conservation Association $ 25.782.975
Greenpeace USA $ 32.791.149
The Sierra Club Foundation $ 47.163.599
National Wildlife Federation $ 84.726.518
National Audubon Society $ 96.206.883
The Sierra Club  $ 97.757.678
Natural Resources Defense Council $98.701.707
The Environmental Defense Fund $111.915.138
World Wildlife Fund $208.495.555 pour l'associé de Rajendra Pachauri.
Wildlife Conservation Society $ 230.042.654
Greenpeace International $ 406.000.000
The Nature Conservancy $ 949.132.306
La plupart des bénéficiaires de ces largesses ont été incapables de présenter une comptabilité justifiant leurs dépenses pour sauver la planète. En 2018 et 2019, le FBI a perquisitionné quelques antennes de ces officines sises aux USA, et les inculpés ont préféré passer des deals avec la justice pour éviter des procès publics.
La supercherie est d'autant plus patente que la science démontre aujourd'hui qu'il y a 15.000 ans des changements climatiques très brutaux, probablement liés à des modifications de la circulation atmosphérique liées aux amplitudes solaires, se sont produits à deux reprises dans l’hémisphère Nord selon une étude publiée dans la revue Science.
Le climat a d’abord basculé il y a 14 700 ans avec une augmentation des températures de plus de 10 degrés Celsius, en seulement 3 ans ! Puis, après un nouveau coup de froid, une hausse équivalente s’est produite en 60 ans il y a 11 700 ans, à la fin de la dernière période glaciaire.

Des analyses de carottes de glace du Groenland ont montré que 
« ces renversements climatiques se sont produits aussi abruptement que si quelqu’un avait soudainement appuyé sur un bouton », souligne Dorthe Dahl-Jensen, de l’université de Copenhague, coauteur de l’étude avec des chercheurs japonais et français du CEA et du CNRS.
N'en déplaise aux réchauffards qui nient l'influence des variations solaires sur le climat, les glaces ont conservé des marqueurs isotopiques des éruptions et super-éruptions du soleil, correspondant à des bouleversements climatiques rapides.
La dernière période glaciaire s’est donc achevée de manière très brutale, avec deux épisodes de réchauffement intense interrompus par une brève période froide. Le tout, il convient de le souligner, en l’absence de tout dégagement de gaz à effet de serre (CO2, méthane…) d’origine humaine. 

Quant à la dendrochronologie (étude des cernes des arbres y compris ceux pétrifiés) considérée comme une des meilleures méthodes de datation utilisées en archéologie pour les périodes remontant jusqu’au Mésolithique (env. 9000 ans B.P) elle enregistre des changements extrêmement brutaux et rapides, en plus chaud, plus froid, plus humide, plus sec... Sans aucune influence anthropique bien évidemment.
Confrontés à ce genre d'études, les réchauffards n'ont d'autre alternative que s'enferrer dans  le déni ou tricher délibérément. Et ils ne s'en privent pas !

Michael E. Mann, Prix Nobel, condamné 
pour fraude !
Ce golden boy du climat fut l'idole des téléphages Nord Américains friands de talk shows, avant d'être détrôné par une mongolienne capricieuse... Michael Mann (rien à voir avec son homonyme cinéaste) est un vrai scientifique. Géophysicien, expert en cristaux liquides et en matériaux supraconducteurs. Mais c'est aussi un caractériel souffrant d'un ego hypertrophié, ne supportant pas d'être contredit.
Or l'hypothèse du réchauffement de la planète repose initialement sur le graphique dit « en crosse de hockey » élaboré par cet individu. Ce graphique a servi au GIEC, aux médias et à divers gouvernements pour appuyer le discours sur le réchauffement.
Mais le graphique en crosse de hockey (900 ans de plat puis une montée en flèche sur les 80 dernières années) est une énorme fraude. Une tricherie sophistiquée. Reposant sur un algorithme conçu pour produire cette forme particulière, quelles que soient les données saisies. Comme l'a démontré le docteur Tim Ball dans son ouvrage « La corruption délibérée de la science du climat »
Michael Mann n’a pas apprécié d'être traité de fraudeur. Il a poursuivi son accusateur en justice pour diffamation. Et fin août 2019, la Cour suprême de Colombie-Britannique (Canada) a rejeté l’action de Mann contre le Docteur Tim Ball à l'issue d'une procédure de 9 ans... Et par voie reconventionnelle, Ball a obtenu que la fraude de Mann soit reconnue par la Cour et qu'il soit condamné à indemnisation et aux dépens. Les motifs de la cour sont intéressants :
« Michael Mann a refusé de remettre aux experts mandatés par la justice les chiffres de l'augmentation des températures qui révèlent selon le défendeur des manipulations de données ayant conduit à la modification du graphique dit de la crosse de hockey. Cette réticence à divulguer l’algorithme du graphique et les points de données, révèle le manque total de transparence et d’intégrité scientifique qui entache le travail prétendument scientifique de Mann. »
Au-delà du refus de Mann de communiquer ses calculs, la cour a probablement été influencée par des rédacteurs de la « Revue du M.I.T » (une sacrée référence !) lesquels ont affirmé que « la courbe de Mann est un artéfact mathématique médiocre dont on ne peut tirer aucune conclusion. »
A l'origine de toutes les fraudes, "l'oubli" de l'optimum médiéval pour lisser la courbe
Un autre procès se poursuit devant la Cour de Pennsylvanie pour les mêmes motifs, cette fois aggravés des incriminations pénales de falsifications et de parjure. Bientôt un réchauffard en pyjama orange ?
Et bravo au Docteur Tim Ball, qui en a comme son nom l'indique. Ce docteur en géographie et en climatologie évolutive ne s'est pas laissé intimider par la hiérarchie universitaire et par la meute médiatique lâchée à ses trousses par un adversaire ne reculant devant rien pour lui pourrir la vie.
On doit à Tim Ball une étude pluridisciplinaire écrite avec 7 co-auteurs concluant que « les températures de l'air printanier autour du bassin de la baie d'Hudson au cours des 70 dernières années ne montrent aucune tendance significative au réchauffement, et qu'en conséquence, la disparition annoncée de l'ours polaire est infondée. »

Élucubrations sur les glaciers de l'himalaya
En 2010, le GIEC a utilisé une étude prospective affirmant que tous les glaciers de l'Himalaya auraient fondu d'ici à 2350.
La plupart des glaciologues de montagne tiennent cette évaluation pour hautement improbable. Les astrologues du GIEC ont alors délibérément interverti les chiffres pour annoncer la fin du dernier glacier himalayen en 2035 ! Présenté comme ça, cela fait encore plus peur aux téléphages.
Ainsi le GIEC dyslexique a écrit dans son rapport AR4 que « au rythme actuel, les glaciers de l’Himalaya auront reculé de 500 000 km2 et disparu d'ici l'année 2035 ». Ces savants devraient retourner à l'école. Car les glaciers de l'Himalaya occupent une surface totale de 60.000 km2, cela figure dans n'importe quel manuel scolaire.
Après enquête, il est apparu que l'étude menée par des « experts éminents » avait été publiée par le WWF, le fonds pour la préservation de la faune sauvage, ami des tourterelles, des lémuriens et des pandas, qui n'a aucune compétence en matière de glaciologie et dont le siège social se trouve en Suisse à Gland (ça ne s'invente pas !)
Derrière ces incohérences, un nom apparaît de façon récurrente : celui de Rajendra Pachauri. L'homme décédé en 2020 était ingénieur ferroviaire ! Comme Jouzel est ingénieur atomiste... La climatologie a du être leur violon d'Ingres.
Pachauri patron du GIEC indien était aussi président du TERI (The Energy and Resources Institute) une entité liée au groupe industriel Tata : Aciéries, usines de fabrication de véhicules, centres de télécoms, commerce agroalimentaire, holdings financières... Pour un chiffre d'affaires annuel de l'ordre de 110 milliards de dollars US. La préoccupation réchauffiste de ces gens-là relève d'une vocation vraiment tardive !
Pachauri aurait embauché comme « distinguished Fellow » le promoteur de l'étude catastrophiste menée par WWF, un certain Syed Hassain, qui a tout nié en 2017 quand une enquête préliminaire a été ouverte.
Là dessus, un troisième comparse Sri Murai Lal a affirmé dans une interview au Daily Mail que les rédacteurs du GIEC savaient parfaitement que les prévisions concernant les glaciers de l'Himalaya étaient erronées mais considéraient que le discours sur la fonte des glaciers servait à encourager les décideurs politiques à passer à l'action. Et à la caisse.
En d'autres termes, Sri Rajendra Pachauri a délibérément publié dans le rapport du GIEC qui est tenu pour vérité révélée par les médias suivistes, une information falsifiée. Puis il s'en est servi, avec le concours de Syed Hassain pour récolter l'équivalent de plusieurs millions d'euros au profit de l'institut qu'il dirigeait. Assortis d'une rémunération personnelle confortable pour les mandats d'administrateur qu'il y exerçait. Si Pachauri est mort, ses complices ne sont pas exonérés pour autant... Pachauri était aussi poursuivi à 78 ans pour harcèlement sur une collaboratrice de 29 ans. Y'a pas à dire, l'écologie ça maintient vert !
Last but not least, le 7 février 2021 un glacier himalayen se fracasse à la suite d'un glissement de terrain, parti d'une faille observée depuis l'espace. Des morceaux du glacier tombent dans un fleuve qui déborde, provoquant la catastrophe de Tapovan.
Inutile de rappeler que les glaciers bougent, qu'ils sont soumis à des forces de compression et de dilatation, et qu'il y a toujours eu des poches d'eau  sous certains glaciers et des lacs glaciaires à leur moraine frontale.
Pour les réchauffards, pas l'ombre d'une hésitation, ce ne peut être qu'un effet de leur prétendu réchauffement cataclysmique !


Australia gate, la vindicte de réchauffards 
en action
Peter Ridd était un enseignant et un chercheur respecté attaché à la James Cook University (Queensland) Son domaine d'expertise était la grande barrière de corail.
En étudiant les causes du dépérissement des polypes, phénomène local que personne ne conteste, il a identifié plusieurs raisons dont la pollution marine liée aux rejets industriels et domestiques, et à la prolifération d'algues et d'animalcules qui colonisent le corail. Dès lors le soi-disant réchauffement climatique apparaît comme un phénomène marginal aix effets très largement surévalués.
Honnête, le docteur Ridd informe ses collègues de ses découvertes et essaye en vain de les publier dans le bulletin de l'université. Comme personne ne s'intéresse à ses travaux, et que ses collègues le mettent en quarantaine, il signe sa condamnation à la mort sociale en brisant l'omerta. Il vulgarise et publie des preuves d'erreurs devenant de la supercherie quand leurs auteurs s'enferrent, dans un quotidien local, puis dans un magazine national et sur le web.
L'abjuration de Galilée a encore des partisans ! Ridd est sommé de revenir sur ses propos, et comme il n’obtempère pas, on le vire purement et simplement. Après des années de procédure, il a réussi à faire condamner le 6 septembre 2019 son ancien employeur par la Cour d’Appel Fédérale qui lui a alloué 1,2 million de dollars australiens d'indemnités.
L’arrêt est particulièrement intéressant dans ses motifs puisqu’il prend en considération comme préjudices « la persécution, les brimades, et le harcèlement hystérique dont Ridd a été victime, jusque dans sa vie privée, alimentées par une vindicte systémique sans autre reproche que d'avoir exprimé une théorie non conforme à ce que professaient ses collègues. »

Africa Gate, encore une manipulation
Dans la locomotive destinée à enfumer les décideurs, pilotée en personne par l'ingénieur ferroviaire Pachauri, le GIEC a annoncé que le réchauffement allait diviser par deux les rendements agricoles des pays d'Afrique du fait de sécheresses accrues. D'ici à 2020. On y est. Mais comme pour les atolls disparus avant 2020 mais toujours là, les astrologues se sont trompés et ont trompé ceux qui ont gobé leurs calembredaines.
Il est vrai qu'une simple extrapolation des courbes depuis 1950 ne portait pas à l'optimisme. Mais aucune suite de données récentes ne venait étayer les affirmations du GIEC, sinon des citations partielles et partiales cueillies dans une obscure étude publiée par un « Institut du Développement Durable » que personne ne connaissait.
Une entité canadienne en quête de subventions, dont la communauté scientifique ignorait les travaux... Avec à sa tête un Marocain autoproclamé climatologue, auquel la justice de son pays s'intéresse.
Cet individu qui n'a aucune qualification scientifique prétend étudier les risques de sécheresses au Maghreb. Il ne s'agit en aucun cas de recherches documentées sur toute l'Afrique, mais d'études de scénarios locaux, destinés à être vendus sous forme de conseils climatiques aux entreprises...
En outre, les observations satellitaires montrent que si le Sahel ne verdit pas comme la Normandie, la désertification s'est arrêtée et les cultures regagnent un peu de terrain du fait d'une augmentation des précipitations et des progrès dans les techniques agricoles pilotées par la FAO. Mais ces informations sont superbement ignorées par le GIEC de même que les photos de National Geographic montrant qu'en Tunisie on regagne des zones de culture sur la désertification. En irriguant et en amendant la terre.

Macron gate N°1
Le 21 septembre 2017, le parti politique du conducator publie sur son site une page bourrée de chiffres effrayants sur les risques du réchauffement climatique.

Les « experts » du président affirment que 7.800.000 litres de glace fondent chaque seconde en Antarctique. Présenté de la sorte, ça fout la trouille (c'est d'ailleurs le but recherché) Mais 7800 m3 multipliés par 31.536.000 secondes, cela fait 246 Milliards de m3 fondant chaque année. Or le volume total de glace du pôle Sud est de 24 millions de milliards de m3. Donc le chiffre des experts macronards représente 0,001% du total de ces glaces polaires.

En outre la NASA en 2015 affirmait que « les gains de masse de l’Antarctique sont supérieurs aux pertes». Les chiffres présentés par la cellule élyséenne correspondent uniquement à la fonte, en oubliant les gains. Si on rétablit la balance, la perte annuelle représente, dans l'hypothèse la plus défavorable, 246 km3 de glace. C'est du même ordre de grandeur que les calculs d'une autre étude de la NASA chiffrant en 2016 à 232 km3 la fonte de la banquise. Compensée par un gain moyen de 245 Milliards de tonnes de glace annuels.

Or la surface totale des océans est de 360 Millions de km2. La fonte de la glace continentale impacterait la montée des eaux de 0,68mm par an, soit 7 cm par siècle... Nonobstant les mouvements vers le haut de la lithosphère et les apports des alluvions fluviaux et sédiments marins. Ainsi pour les satellites de la NASA, la fonte actuelle produit une hausse observée du niveau des mers de 0,4 mm/an, soit 4 cm par siècle... Tandis que la glace arctique, si elle fondait, ne ferait pas plus monter le niveau des mers qu'un glaçon ne fait déborder votre verre de whisky on the rocks.

Les chiffre des marcheurs étaient délibérément présentés pour capter de nouveaux flux financiers en vue de sauver le monde. Conséquence : des groupes anti-corruption attirent régulièrement l'attention de juges d'instruction et du parquet financier sur l'affectation réelle des sommes récoltées. Sans effets bien évidemment, tant que le conducator restera en place.

Amazone Gate
Un rapport du GIEC prétendait que 40% de la forêt amazonienne souffrait gravement d'une baisse des précipitations causée par le prétendu réchauffement global.
Or, il apparaît que la source émane là encore du WWF et de l'IUCN, une organisation politique intergouvernementale comme le GIEC et dont le siège social se trouve aussi à Gland (décidément ils le font exprès !) Tandis que l'article alarmiste mis en avant par le GIEC a été écrit par un éditorialiste politique et un journaliste free lance, écologiste activiste d'extrême gauche, selon le Daily Telegraph.
L'article de ces deux propagandistes donne pour unique source une étude de « Nature », revue scientifique sérieuse mais qui n'est pas hermétique aux pressions des réchauffards. Or le GIEC a choisi de ne pas mentionner cette revue qui lui est plutôt favorable. Pourquoi ?
Jacques Duran décédé en 2019, ancien directeur de recherches au CNRS et patron de l'institut supérieur de physique de Paris, auteur de « Pensée scientifique unique », expliquait que l'article de « Nature » évoquait une perte de biomasse provoquée par la déforestation et les feux de forêts, mais en aucun cas liée à une diminution du niveau des précipitations. Nulle part il n'y est fait mention dans l'article, pas plus que des 40% de forêt amazonienne en train de disparaître à cause du prétendu réchauffement cataclysmique.
Encore un trucage décelé ou comment détourner une info authentique en la modifiant, et en passant sous silence sa substance intrinsèque, pour la faire coller pile poil aux obsessions des climato-fanatiques.
On comprend pourquoi Bolsonaro a expulsé les truqueurs étrangers et fait coffrer quelques uns de leurs complices brésiliens, auteurs d'actes de violence et de sabotage de l'économie.

Malaria Gate
Paul Reiter est professeur d'entomologie médicale à l'institut Pasteur, spécialiste des maladies transmises par les insectes, dont la malaria. Reiter stigmatise les affirmations péremptoires du GIEC sur la propagation de la malaria, reposant sur des approximations qui d'après lui relèvent de la manipulation systématique des données.
Cette sommité mondialement reconnue, peine à se faire entendre en France. Mais la chambre des Lords britannique l'a auditionné à propos des erreurs diffusées par le GIEC. Son argumentation s'appuie sur le fait qu'un grand nombre d'études médicales abondent sur ce sujet... Toutes ignorées par le GIEC qui se réfère systématiquement à des articles écrits par des sociologues, des économistes et des journalistes, arguant tous d'une augmentation inquiétante de la maladie. À cause du réchauffement. Bien évidemment.
Reiter écrit : « Le public entend encore et encore qu’il y a un consensus scientifique, sur le réchauffement, et que nous sommes au bord du désastre. C’est un mensonge et un non-sens (...) Pendant des années, le public a été nourri avec des catastrophes et de la misère, servies par des alarmistes qui utilisent le langage de la science pour soutenir un agenda.»
Et il demande combien de millions de comprimés de nivaquine ® tant préventifs que curatifs ont été vendus à Nairobi et environs, après les affabulations de Al Gore. Expliquant : « Nairobi était déjà dangereusement infesté quand la ville a été fondée, non pour des raisons de climat favorable, mais pour servir une ligne de chemin de fer. La ville est maintenant plutôt épargnée par la malaria et l’endroit ne s’est pas réchauffé d'un degré (…) En fait, les épidémies de malaria ont été fréquentes jusqu’aux années 1950, quand le DDT a fait son apparition. Actuellement, la lutte contre la malaria a régressé de 20 ans à cause de l’interdiction du DDT.» (NDLR : un grand merci aux zékolos !)
Reiter a dénoncé au passage la mainmise d'activistes du WWF (qui vit de la charité publique et a tout intérêt à affoler le public et à mettre sous pression les gouvernants pour récolter des fonds) sur la rédaction des rapports prédisant une extension de la malaria... Avant de claquer la porte du GIEC dont il était consultant externe. Mais comme dans les sectes, on ne vous laisse pas partir comme ça ! Le name dropping a trop de valeur pour crédibiliser les gurus qui feignent de s'entourer d'experts, tous approbateurs dociles de leurs carabistouilles.
Cet éminent spécialiste de classe internationale a dû leur faire un procès pour que son nom soit retiré de la « liste des scientifiques soutenant le consensus climatique » !
Cet épisode de captation de réputation est à rapprocher du cas de Richard Lindzen, professeur au MIT, physicien expert en photochimie atmosphérique, membre de l’Académie américaine des sciences, qui après avoir été consultant pour le GIEC, fut ulcéré de voir le détournement qu'on faisait de ses travaux et eut lui aussi le plus grand mal à se faire rayer de la liste.
Reiter a profité de la tribune qui s'offrait à lui pour rappeler que la malaria n'est pas une maladie uniquement tropicale. On l'a connue en France autour des zones marécageuses de Sologne ou du Languedoc jusqu'à la fin du XIXème siècle, mais aussi en Sibérie dans les années 1920 et en Finlande qui compte de très nombreux lacs. La maladie fut contenue par l'assèchement des marais, une hygiène préventive et l'éradication des moustiques. Cependant, pour le GIEC, le paludisme est une maladie spécifiquement tropicale ! C'est dire le niveau scientifique de leurs « experts ».

Virus gate
La fonte du permafrost n'est pas nouvelle. Déjà au XVIII ème siècle, un aventurier russe Ivan Liakhov attendait le dégel estival pour récupérer des défenses de mammouths et en vendre l'ivoire. Et les Cosaques connaissaient le gisement bien avant lui. Mais la vérité historique est trop prosaïque.
Le cycle des saisons comme celui des climats embarrassent le GIEC. Puisqu'ils soulignent l'imposture de ses prophètes de malheur. Alors comme d'habitude, on sélectionne l'info, on la manipule, on l'interprète, on la martèle sur les médias main stream, et l'apparition « soudaine » de ces carcasses d'animaux préhistoriques est supposée constituer une preuve du prétendu réchauffement climatique.
Par ailleurs, on a trouvé dans le permafrost sibérien des virus gelés datés d'environ 30.000 à 40.000 ans. Ces êtres vivants simples étaient en état de vie suspendue, on les a « ressuscités ». Rien de nouveau. On sait faire depuis 20 ans. Mais avant d'être gelés ces virus étaient à l'air libre. Les humains vivant à proximité n'ont pas disparu pour autant... Et depuis 30.000 ou 40.000 ans, des dégels se sont succédés sans provoquer des contaminations de masse... 
En outre on a trouvé des virus préhistoriques endormis aussi anciens dans des grottes, sous des lacs asséchés, dans des mines se sel, et même à l'intérieur de fossiles. Ceux du permafrost sont une variété parmi d'autres. Ni plus ni moins pathogène. Mais l'opportunité était trop belle de lier ces virus au prétendu réchauffement pour terroriser les populations en prédisant de nouvelles pandémies.

Macron gate N° 2
Toujours en 2017, repris en 2018, le site « En Marche », affichait un chiffre apocalyptique sur un image stressante : 1 km2 de forêt disparaît à chaque seconde !
Sachant qu'il y a 31.536.000 secondes/an, hors années bissextiles, une telle cadence anéantirait 31 millions de km2, soit 25% de la surface des terres émergées chaque année. En mai 2021 la terre ressemblerait donc à la planète Mars.
Quant à « l'inéluctable accélération du processus de destruction » selon les macronards, cette prédiction est démentie par le professeur émérite David South de l'université d'Auburn Alabama qui, auditionné en 2018 par le sénat US rappela que si 2017 avait vu brûler environ 6 millions d’hectares... En 1930 on en avait dénombré 21 millions partis en fumée !
Dans le même ordre d'idée, la Banque Mondiale qui finance des filières bois, affirme dans une étude documentée qu'entre 1990 et 2010 la part des forêts naturelles sur l'ensemble des continents est passée de 31.8% à 30.8% avant de remonter au dessus de 32% tandis que les forêts d'exploitation et les surfaces cultivées s'accroissaient, gagnant sur les déserts, en raison des effets bénéfiques d'une légère augmentation du taux de CO2 ! Des phénomènes alternatifs donc, qui n'ont rien à voir avec les élucubrations des professeurs Philippulus.
En effet les forêts représentent environ 45 millions de Km2 sur des 150 millions des terres émergées. Les marcheurs se sont encore mélangés les pinceaux ! Une diminution de 1% en 25 ans correspond à une perte de 0,45 Millions de km2. Soit 18.000 km2/an. On est loin du chiffre mis en avant par les marcheurs qui vous font marcher. Et même galoper. L'hypothèse d'une telle erreur, supervisée par leur soi-disant comité scientifique est peu vraisemblable. On pense plutôt à une tentative d'enfumage pour récolter du pognon. Vous pouvez donner 500 € et plus en ligne. Avec le réchauffement, votre argent part encore plus vite en fumée!
Dans l'argumentaire réchauffiste, l'approximation et l'imprécision dans le meilleur de cas, côtoient des manipulations et des fraudes dans le pire, afin de convaincre les populations paniquées que seul un gouvernement mondial pourra les sauver de la fin du monde.
















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