samedi 28 décembre 2019

COP 25 : La débâcle des imposteurs climatiques


Interdit de séjour sur Facebook

et Twitter


La débâcle des imposteurs climatiques

La piètre COP 25 a fait hurler de rage Sainte Greta, le GIEC et leurs suiveurs. Savent-ils que la défiance des États résulte des procédures judiciaires conduites un peu partout dans le monde contre les imposteurs ? Les États hésitent encore à les bannir et à leur couper les vivres... Mais leurs chancelleries saisies de ces dossiers brûlants leur recommandent de se désengager au plus vite.
Entre chaud et froid, Sahara gate, Malaria gate, Himalaya gate, Banquise gate et Macron gates au pluriel, on retrouve les mêmes méthodes : chiffres truqués, rapports tronqués, tricheries éhontées... Pour soutirer de l'argent au gogos. Or les grands marabouts du climat ne sont pas dispensés de respecter la Loi.
2 milliards et demi de dollars ont été versés en 2015 aux réchauffards bénévoles et désintéressés, et ça n'a pas diminué depuis, bien au contraire :
Al Gore’s Alliance for Climate Protection $19.150.215
Seulement 19 millions de US$ pour Bébert, c'est la honte ! Les autres font nettement mieux :
The Wilderness Society $ 24.862.909
National Parks Conservation Association $ 25.782.975
Greenpeace USA $ 32.791.149
The Sierra Club Foundation $ 47.163.599
National Wildlife Federation $ 84.726.518
National Audubon Society $ 96.206.883
The Sierra Club  $ 97.757.678
Natural Resources Defense Council $98.701.707
The Environmental Defense Fund $111.915.138
World Wildlife Fund $208.495.555 pour l'associé de Rajendra Pachauri.
Wildlife Conservation Society $ 230.042.654
Greenpeace International $ 406.000.000
The Nature Conservancy $ 949.132.306
La plupart des bénéficiaires de ces largesses ont été incapables de présenter une comptabilité justifiant leurs dépenses pour sauver la planète. En 2018 et 2019, le FBI a perquisitionné quelques antennes de ces officines sises aux USA, et les inculpés ont préféré passer des deals avec la justice pour éviter des procès publics.
La supercherie est d'autant plus patente que la science démontre aujourd'hui qu'il y a 15.000 ans des changements climatiques très brutaux, probablement liés à des modifications de la circulation atmosphérique liées aux amplitudes solaires, se sont produits à deux reprises dans l’hémisphère Nord selon une étude publiée dans la revue Science.
Le climat a d’abord basculé il y a 14 700 ans avec une augmentation des températures de plus de 10 degrés Celsius, en seulement 3 ans ! Puis, après un nouveau coup de froid, une hausse équivalente s’est produite en 60 ans il y a 11 700 ans, à la fin de la dernière période glaciaire.

Des analyses de carottes de glace du Groenland ont montré que 
« ces renversements climatiques se sont produits aussi abruptement que si quelqu’un avait soudainement appuyé sur un bouton », souligne Dorthe Dahl-Jensen, de l’université de Copenhague, coauteur de l’étude avec des chercheurs japonais et français du CEA et du CNRS.
N'en déplaise aux réchauffards qui nient l'influence des variations solaires sur le climat, les glaces ont conservé des marqueurs isotopiques des éruptions et super-éruptions du soleil, correspondant à des bouleversements climatiques rapides.
La dernière période glaciaire s’est donc achevée de manière très brutale, avec deux épisodes de réchauffement intense interrompus par une brève période froide. Le tout, il convient de le souligner, en l’absence de tout dégagement de gaz à effet de serre (CO2, méthane…) d’origine humaine. 

Quant à la dendrochronologie (étude des cernes des arbres y compris ceux pétrifiés) considérée comme une des meilleures méthodes de datation utilisées en archéologie pour les périodes remontant jusqu’au Mésolithique (env. 9000 ans B.P) elle enregistre des changements extrêmement brutaux et rapides, en plus chaud, plus froid, plus humide, plus sec... Sans aucune influence anthropique bien évidemment.
Confrontés à ce genre d'études, les réchauffards n'ont d'autre alternative que s'enferrer dans  le déni ou tricher délibérément. Et ils ne s'en privent pas !

Michael E. Mann, Prix Nobel, condamné 
pour fraude !
Ce golden boy du climat fut l'idole des téléphages Nord Américains friands de talk shows, avant d'être détrôné par une mongolienne capricieuse... Michael Mann (rien à voir avec son homonyme cinéaste) est un vrai scientifique. Géophysicien, expert en cristaux liquides et en matériaux supraconducteurs. Mais c'est aussi un caractériel souffrant d'un ego hypertrophié, ne supportant pas d'être contredit.
Or l'hypothèse du réchauffement de la planète repose initialement sur le graphique dit « en crosse de hockey » élaboré par cet individu. Ce graphique a servi au GIEC, aux médias et à divers gouvernements pour appuyer le discours sur le réchauffement.
Mais le graphique en crosse de hockey (900 ans de plat puis une montée en flèche sur les 80 dernières années) est une énorme fraude. Une tricherie sophistiquée. Reposant sur un algorithme conçu pour produire cette forme particulière, quelles que soient les données saisies. Comme l'a démontré le docteur Tim Ball dans son ouvrage « La corruption délibérée de la science du climat »
Michael Mann n’a pas apprécié d'être traité de fraudeur. Il a poursuivi son accusateur en justice pour diffamation. Et fin août 2019, la Cour suprême de Colombie-Britannique (Canada) a rejeté l’action de Mann contre le Docteur Tim Ball à l'issue d'une procédure de 9 ans... Et par voie reconventionnelle, Ball a obtenu que la fraude de Mann soit reconnue par la Cour et qu'il soit condamné à indemnisation et aux dépens. Les motifs de la cour sont intéressants :
« Michael Mann a refusé de remettre aux experts mandatés par la justice les chiffres de l'augmentation des températures qui révèlent selon le défendeur des manipulations de données ayant conduit à la modification du graphique dit de la crosse de hockey. Cette réticence à divulguer l’algorithme du graphique et les points de données, révèle le manque total de transparence et d’intégrité scientifique qui entache le travail prétendument scientifique de Mann. »
Au-delà du refus de Mann de communiquer ses calculs, la cour a probablement été influencée par des rédacteurs de la « Revue du M.I.T » (une sacrée référence !) lesquels ont affirmé que « la courbe de Mann est un artéfact mathématique médiocre dont on ne peut tirer aucune conclusion. »
A l'origine de toutes les fraudes, "l'oubli" de l'optimum médiéval pour lisser la courbe
Un autre procès se poursuit devant la Cour de Pennsylvanie pour les mêmes motifs, cette fois aggravés des incriminations pénales de falsifications et de parjure. Bientôt un réchauffard en pyjama orange ?
Et bravo au Docteur Tim Ball, qui en a comme son nom l'indique. Ce docteur en géographie et en climatologie évolutive ne s'est pas laissé intimider par la hiérarchie universitaire et par la meute médiatique lâchée à ses trousses par un adversaire ne reculant devant rien pour lui pourrir la vie.
On doit à Tim Ball une étude pluridisciplinaire écrite avec 7 co-auteurs concluant que « les températures de l'air printanier autour du bassin de la baie d'Hudson au cours des 70 dernières années ne montrent aucune tendance significative au réchauffement, et qu'en conséquence, la disparition annoncée de l'ours polaire est infondée. »

Élucubrations sur les glaciers de l'himalaya
En 2010, le GIEC a utilisé une étude prospective affirmant que tous les glaciers de l'Himalaya auraient fondu d'ici à 2350.
La plupart des glaciologues de montagne tiennent cette évaluation pour hautement improbable. Les astrologues du GIEC ont alors délibérément interverti les chiffres pour annoncer la fin du dernier glacier himalayen en 2035 ! Présenté comme ça, cela fait encore plus peur aux téléphages.
Ainsi le GIEC dyslexique a écrit dans son rapport AR4 que « au rythme actuel, les glaciers de l’Himalaya auront reculé de 500 000 km2 et disparu d'ici l'année 2035 ». Ces savants devraient retourner à l'école. Car les glaciers de l'Himalaya occupent une surface totale de 60.000 km2, cela figure dans n'importe quel manuel scolaire.
Après enquête, il est apparu que l'étude menée par des « experts éminents » avait été publiée par le WWF, le fonds pour la préservation de la faune sauvage, ami des tourterelles, des lémuriens et des pandas, qui n'a aucune compétence en matière de glaciologie et dont le siège social se trouve en Suisse à Gland (ça ne s'invente pas !)
Derrière ces incohérences, un nom apparaît de façon récurrente : celui de Rajendra Pachauri. L'homme décédé en 2020 était ingénieur ferroviaire ! Comme Jouzel est ingénieur atomiste... La climatologie a du être leur violon d'Ingres.
Pachauri patron du GIEC indien était aussi président du TERI (The Energy and Resources Institute) une entité liée au groupe industriel Tata : Aciéries, usines de fabrication de véhicules, centres de télécoms, commerce agroalimentaire, holdings financières... Pour un chiffre d'affaires annuel de l'ordre de 110 milliards de dollars US. La préoccupation réchauffiste de ces gens-là relève d'une vocation vraiment tardive !
Pachauri aurait embauché comme « distinguished Fellow » le promoteur de l'étude catastrophiste menée par WWF, un certain Syed Hassain, qui a tout nié en 2017 quand une enquête préliminaire a été ouverte.
Là dessus, un troisième comparse Sri Murai Lal a affirmé dans une interview au Daily Mail que les rédacteurs du GIEC savaient parfaitement que les prévisions concernant les glaciers de l'Himalaya étaient erronées mais considéraient que le discours sur la fonte des glaciers servait à encourager les décideurs politiques à passer à l'action. Et à la caisse.
En d'autres termes, Sri Rajendra Pachauri a délibérément publié dans le rapport du GIEC qui est tenu pour vérité révélée par les médias suivistes, une information falsifiée. Puis il s'en est servi, avec le concours de Syed Hassain pour récolter l'équivalent de plusieurs millions d'euros au profit de l'institut qu'il dirigeait. Assortis d'une rémunération personnelle confortable pour les mandats d'administrateur qu'il y exerçait. Si Pachauri est mort, ses complices ne sont pas exonérés pour autant... Pachauri était aussi poursuivi à 78 ans pour harcèlement sur une collaboratrice de 29 ans. Y'a pas à dire, l'écologie ça maintient vert !
Last but not least, le 7 février 2021 un glacier himalayen se fracasse à la suite d'un glissement de terrain, parti d'une faille observée depuis l'espace. Des morceaux du glacier tombent dans un fleuve qui déborde, provoquant la catastrophe de Tapovan.
Inutile de rappeler que les glaciers bougent, qu'ils sont soumis à des forces de compression et de dilatation, et qu'il y a toujours eu des poches d'eau  sous certains glaciers et des lacs glaciaires à leur moraine frontale.
Pour les réchauffards, pas l'ombre d'une hésitation, ce ne peut être qu'un effet de leur prétendu réchauffement cataclysmique !


Australia gate, la vindicte de réchauffards 
en action
Peter Ridd était un enseignant et un chercheur respecté attaché à la James Cook University (Queensland) Son domaine d'expertise était la grande barrière de corail.
En étudiant les causes du dépérissement des polypes, phénomène local que personne ne conteste, il a identifié plusieurs raisons dont la pollution marine liée aux rejets industriels et domestiques, et à la prolifération d'algues et d'animalcules qui colonisent le corail. Dès lors le soi-disant réchauffement climatique apparaît comme un phénomène marginal aix effets très largement surévalués.
Honnête, le docteur Ridd informe ses collègues de ses découvertes et essaye en vain de les publier dans le bulletin de l'université. Comme personne ne s'intéresse à ses travaux, et que ses collègues le mettent en quarantaine, il signe sa condamnation à la mort sociale en brisant l'omerta. Il vulgarise et publie des preuves d'erreurs devenant de la supercherie quand leurs auteurs s'enferrent, dans un quotidien local, puis dans un magazine national et sur le web.
L'abjuration de Galilée a encore des partisans ! Ridd est sommé de revenir sur ses propos, et comme il n’obtempère pas, on le vire purement et simplement. Après des années de procédure, il a réussi à faire condamner le 6 septembre 2019 son ancien employeur par la Cour d’Appel Fédérale qui lui a alloué 1,2 million de dollars australiens d'indemnités.
L’arrêt est particulièrement intéressant dans ses motifs puisqu’il prend en considération comme préjudices « la persécution, les brimades, et le harcèlement hystérique dont Ridd a été victime, jusque dans sa vie privée, alimentées par une vindicte systémique sans autre reproche que d'avoir exprimé une théorie non conforme à ce que professaient ses collègues. »

Africa Gate, encore une manipulation
Dans la locomotive destinée à enfumer les décideurs, pilotée en personne par l'ingénieur ferroviaire Pachauri, le GIEC a annoncé que le réchauffement allait diviser par deux les rendements agricoles des pays d'Afrique du fait de sécheresses accrues. D'ici à 2020. On y est. Mais comme pour les atolls disparus avant 2020 mais toujours là, les astrologues se sont trompés et ont trompé ceux qui ont gobé leurs calembredaines.
Il est vrai qu'une simple extrapolation des courbes depuis 1950 ne portait pas à l'optimisme. Mais aucune suite de données récentes ne venait étayer les affirmations du GIEC, sinon des citations partielles et partiales cueillies dans une obscure étude publiée par un « Institut du Développement Durable » que personne ne connaissait.
Une entité canadienne en quête de subventions, dont la communauté scientifique ignorait les travaux... Avec à sa tête un Marocain autoproclamé climatologue, auquel la justice de son pays s'intéresse.
Cet individu qui n'a aucune qualification scientifique prétend étudier les risques de sécheresses au Maghreb. Il ne s'agit en aucun cas de recherches documentées sur toute l'Afrique, mais d'études de scénarios locaux, destinés à être vendus sous forme de conseils climatiques aux entreprises...
En outre, les observations satellitaires montrent que si le Sahel ne verdit pas comme la Normandie, la désertification s'est arrêtée et les cultures regagnent un peu de terrain du fait d'une augmentation des précipitations et des progrès dans les techniques agricoles pilotées par la FAO. Mais ces informations sont superbement ignorées par le GIEC de même que les photos de National Geographic montrant qu'en Tunisie on regagne des zones de culture sur la désertification. En irriguant et en amendant la terre.

Macron gate N°1
Le 21 septembre 2017, le parti politique du conducator publie sur son site une page bourrée de chiffres effrayants sur les risques du réchauffement climatique.

Les « experts » du président affirment que 7.800.000 litres de glace fondent chaque seconde en Antarctique. Présenté de la sorte, ça fout la trouille (c'est d'ailleurs le but recherché) Mais 7800 m3 multipliés par 31.536.000 secondes, cela fait 246 Milliards de m3 fondant chaque année. Or le volume total de glace du pôle Sud est de 24 millions de milliards de m3. Donc le chiffre des experts macronards représente 0,001% du total de ces glaces polaires.

En outre la NASA en 2015 affirmait que « les gains de masse de l’Antarctique sont supérieurs aux pertes». Les chiffres présentés par la cellule élyséenne correspondent uniquement à la fonte, en oubliant les gains. Si on rétablit la balance, la perte annuelle représente, dans l'hypothèse la plus défavorable, 246 km3 de glace. C'est du même ordre de grandeur que les calculs d'une autre étude de la NASA chiffrant en 2016 à 232 km3 la fonte de la banquise. Compensée par un gain moyen de 245 Milliards de tonnes de glace annuels.

Or la surface totale des océans est de 360 Millions de km2. La fonte de la glace continentale impacterait la montée des eaux de 0,68mm par an, soit 7 cm par siècle... Nonobstant les mouvements vers le haut de la lithosphère et les apports des alluvions fluviaux et sédiments marins. Ainsi pour les satellites de la NASA, la fonte actuelle produit une hausse observée du niveau des mers de 0,4 mm/an, soit 4 cm par siècle... Tandis que la glace arctique, si elle fondait, ne ferait pas plus monter le niveau des mers qu'un glaçon ne fait déborder votre verre de whisky on the rocks.

Les chiffre des marcheurs étaient délibérément présentés pour capter de nouveaux flux financiers en vue de sauver le monde. Conséquence : des groupes anti-corruption attirent régulièrement l'attention de juges d'instruction et du parquet financier sur l'affectation réelle des sommes récoltées. Sans effets bien évidemment, tant que le conducator restera en place.

Amazone Gate
Un rapport du GIEC prétendait que 40% de la forêt amazonienne souffrait gravement d'une baisse des précipitations causée par le prétendu réchauffement global.
Or, il apparaît que la source émane là encore du WWF et de l'IUCN, une organisation politique intergouvernementale comme le GIEC et dont le siège social se trouve aussi à Gland (décidément ils le font exprès !) Tandis que l'article alarmiste mis en avant par le GIEC a été écrit par un éditorialiste politique et un journaliste free lance, écologiste activiste d'extrême gauche, selon le Daily Telegraph.
L'article de ces deux propagandistes donne pour unique source une étude de « Nature », revue scientifique sérieuse mais qui n'est pas hermétique aux pressions des réchauffards. Or le GIEC a choisi de ne pas mentionner cette revue qui lui est plutôt favorable. Pourquoi ?
Jacques Duran décédé en 2019, ancien directeur de recherches au CNRS et patron de l'institut supérieur de physique de Paris, auteur de « Pensée scientifique unique », expliquait que l'article de « Nature » évoquait une perte de biomasse provoquée par la déforestation et les feux de forêts, mais en aucun cas liée à une diminution du niveau des précipitations. Nulle part il n'y est fait mention dans l'article, pas plus que des 40% de forêt amazonienne en train de disparaître à cause du prétendu réchauffement cataclysmique.
Encore un trucage décelé ou comment détourner une info authentique en la modifiant, et en passant sous silence sa substance intrinsèque, pour la faire coller pile poil aux obsessions des climato-fanatiques.
On comprend pourquoi Bolsonaro a expulsé les truqueurs étrangers et fait coffrer quelques uns de leurs complices brésiliens, auteurs d'actes de violence et de sabotage de l'économie.

Malaria Gate
Paul Reiter est professeur d'entomologie médicale à l'institut Pasteur, spécialiste des maladies transmises par les insectes, dont la malaria. Reiter stigmatise les affirmations péremptoires du GIEC sur la propagation de la malaria, reposant sur des approximations qui d'après lui relèvent de la manipulation systématique des données.
Cette sommité mondialement reconnue, peine à se faire entendre en France. Mais la chambre des Lords britannique l'a auditionné à propos des erreurs diffusées par le GIEC. Son argumentation s'appuie sur le fait qu'un grand nombre d'études médicales abondent sur ce sujet... Toutes ignorées par le GIEC qui se réfère systématiquement à des articles écrits par des sociologues, des économistes et des journalistes, arguant tous d'une augmentation inquiétante de la maladie. À cause du réchauffement. Bien évidemment.
Reiter écrit : « Le public entend encore et encore qu’il y a un consensus scientifique, sur le réchauffement, et que nous sommes au bord du désastre. C’est un mensonge et un non-sens (...) Pendant des années, le public a été nourri avec des catastrophes et de la misère, servies par des alarmistes qui utilisent le langage de la science pour soutenir un agenda.»
Et il demande combien de millions de comprimés de nivaquine ® tant préventifs que curatifs ont été vendus à Nairobi et environs, après les affabulations de Al Gore. Expliquant : « Nairobi était déjà dangereusement infesté quand la ville a été fondée, non pour des raisons de climat favorable, mais pour servir une ligne de chemin de fer. La ville est maintenant plutôt épargnée par la malaria et l’endroit ne s’est pas réchauffé d'un degré (…) En fait, les épidémies de malaria ont été fréquentes jusqu’aux années 1950, quand le DDT a fait son apparition. Actuellement, la lutte contre la malaria a régressé de 20 ans à cause de l’interdiction du DDT.» (NDLR : un grand merci aux zékolos !)
Reiter a dénoncé au passage la mainmise d'activistes du WWF (qui vit de la charité publique et a tout intérêt à affoler le public et à mettre sous pression les gouvernants pour récolter des fonds) sur la rédaction des rapports prédisant une extension de la malaria... Avant de claquer la porte du GIEC dont il était consultant externe. Mais comme dans les sectes, on ne vous laisse pas partir comme ça ! Le name dropping a trop de valeur pour crédibiliser les gurus qui feignent de s'entourer d'experts, tous approbateurs dociles de leurs carabistouilles.
Cet éminent spécialiste de classe internationale a dû leur faire un procès pour que son nom soit retiré de la « liste des scientifiques soutenant le consensus climatique » !
Cet épisode de captation de réputation est à rapprocher du cas de Richard Lindzen, professeur au MIT, physicien expert en photochimie atmosphérique, membre de l’Académie américaine des sciences, qui après avoir été consultant pour le GIEC, fut ulcéré de voir le détournement qu'on faisait de ses travaux et eut lui aussi le plus grand mal à se faire rayer de la liste.
Reiter a profité de la tribune qui s'offrait à lui pour rappeler que la malaria n'est pas une maladie uniquement tropicale. On l'a connue en France autour des zones marécageuses de Sologne ou du Languedoc jusqu'à la fin du XIXème siècle, mais aussi en Sibérie dans les années 1920 et en Finlande qui compte de très nombreux lacs. La maladie fut contenue par l'assèchement des marais, une hygiène préventive et l'éradication des moustiques. Cependant, pour le GIEC, le paludisme est une maladie spécifiquement tropicale ! C'est dire le niveau scientifique de leurs « experts ».

Virus gate
La fonte du permafrost n'est pas nouvelle. Déjà au XVIII ème siècle, un aventurier russe Ivan Liakhov attendait le dégel estival pour récupérer des défenses de mammouths et en vendre l'ivoire. Et les Cosaques connaissaient le gisement bien avant lui. Mais la vérité historique est trop prosaïque.
Le cycle des saisons comme celui des climats embarrassent le GIEC. Puisqu'ils soulignent l'imposture de ses prophètes de malheur. Alors comme d'habitude, on sélectionne l'info, on la manipule, on l'interprète, on la martèle sur les médias main stream, et l'apparition « soudaine » de ces carcasses d'animaux préhistoriques est supposée constituer une preuve du prétendu réchauffement climatique.
Par ailleurs, on a trouvé dans le permafrost sibérien des virus gelés datés d'environ 30.000 à 40.000 ans. Ces êtres vivants simples étaient en état de vie suspendue, on les a « ressuscités ». Rien de nouveau. On sait faire depuis 20 ans. Mais avant d'être gelés ces virus étaient à l'air libre. Les humains vivant à proximité n'ont pas disparu pour autant... Et depuis 30.000 ou 40.000 ans, des dégels se sont succédés sans provoquer des contaminations de masse... 
En outre on a trouvé des virus préhistoriques endormis aussi anciens dans des grottes, sous des lacs asséchés, dans des mines se sel, et même à l'intérieur de fossiles. Ceux du permafrost sont une variété parmi d'autres. Ni plus ni moins pathogène. Mais l'opportunité était trop belle de lier ces virus au prétendu réchauffement pour terroriser les populations en prédisant de nouvelles pandémies.

Macron gate N° 2
Toujours en 2017, repris en 2018, le site « En Marche », affichait un chiffre apocalyptique sur un image stressante : 1 km2 de forêt disparaît à chaque seconde !
Sachant qu'il y a 31.536.000 secondes/an, hors années bissextiles, une telle cadence anéantirait 31 millions de km2, soit 25% de la surface des terres émergées chaque année. En mai 2021 la terre ressemblerait donc à la planète Mars.
Quant à « l'inéluctable accélération du processus de destruction » selon les macronards, cette prédiction est démentie par le professeur émérite David South de l'université d'Auburn Alabama qui, auditionné en 2018 par le sénat US rappela que si 2017 avait vu brûler environ 6 millions d’hectares... En 1930 on en avait dénombré 21 millions partis en fumée !
Dans le même ordre d'idée, la Banque Mondiale qui finance des filières bois, affirme dans une étude documentée qu'entre 1990 et 2010 la part des forêts naturelles sur l'ensemble des continents est passée de 31.8% à 30.8% avant de remonter au dessus de 32% tandis que les forêts d'exploitation et les surfaces cultivées s'accroissaient, gagnant sur les déserts, en raison des effets bénéfiques d'une légère augmentation du taux de CO2 ! Des phénomènes alternatifs donc, qui n'ont rien à voir avec les élucubrations des professeurs Philippulus.
En effet les forêts représentent environ 45 millions de Km2 sur des 150 millions des terres émergées. Les marcheurs se sont encore mélangés les pinceaux ! Une diminution de 1% en 25 ans correspond à une perte de 0,45 Millions de km2. Soit 18.000 km2/an. On est loin du chiffre mis en avant par les marcheurs qui vous font marcher. Et même galoper. L'hypothèse d'une telle erreur, supervisée par leur soi-disant comité scientifique est peu vraisemblable. On pense plutôt à une tentative d'enfumage pour récolter du pognon. Vous pouvez donner 500 € et plus en ligne. Avec le réchauffement, votre argent part encore plus vite en fumée!
Dans l'argumentaire réchauffiste, l'approximation et l'imprécision dans le meilleur de cas, côtoient des manipulations et des fraudes dans le pire, afin de convaincre les populations paniquées que seul un gouvernement mondial pourra les sauver de la fin du monde.
















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