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samedi 28 décembre 2019

COP 25 : La débâcle des imposteurs climatiques


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La débâcle des imposteurs climatiques

La piètre COP 25 a fait hurler de rage Sainte Greta, le GIEC et leurs suiveurs. Savent-ils que la défiance des États résulte des procédures judiciaires conduites un peu partout dans le monde contre les imposteurs ? Les États hésitent encore à les bannir et à leur couper les vivres... Mais leurs chancelleries saisies de ces dossiers brûlants leur recommandent de se désengager au plus vite.
Entre chaud et froid, Sahara gate, Malaria gate, Himalaya gate, Banquise gate et Macron gates au pluriel, on retrouve les mêmes méthodes : chiffres truqués, rapports tronqués, tricheries éhontées... Pour soutirer de l'argent au gogos. Or les grands marabouts du climat ne sont pas dispensés de respecter la Loi.
2 milliards et demi de dollars ont été versés en 2015 aux réchauffards bénévoles et désintéressés, et ça n'a pas diminué depuis, bien au contraire :
Al Gore’s Alliance for Climate Protection $19.150.215
Seulement 19 millions de US$ pour Bébert, c'est la honte ! Les autres font nettement mieux :
The Wilderness Society $ 24.862.909
National Parks Conservation Association $ 25.782.975
Greenpeace USA $ 32.791.149
The Sierra Club Foundation $ 47.163.599
National Wildlife Federation $ 84.726.518
National Audubon Society $ 96.206.883
The Sierra Club  $ 97.757.678
Natural Resources Defense Council $98.701.707
The Environmental Defense Fund $111.915.138
World Wildlife Fund $208.495.555 pour l'associé de Rajendra Pachauri.
Wildlife Conservation Society $ 230.042.654
Greenpeace International $ 406.000.000
The Nature Conservancy $ 949.132.306
La plupart des bénéficiaires de ces largesses ont été incapables de présenter une comptabilité justifiant leurs dépenses pour sauver la planète. En 2018 et 2019, le FBI a perquisitionné quelques antennes de ces officines sises aux USA, et les inculpés ont préféré passer des deals avec la justice pour éviter des procès publics.
La supercherie est d'autant plus patente que la science démontre aujourd'hui qu'il y a 15.000 ans des changements climatiques très brutaux, probablement liés à des modifications de la circulation atmosphérique liées aux amplitudes solaires, se sont produits à deux reprises dans l’hémisphère Nord selon une étude publiée dans la revue Science.
Le climat a d’abord basculé il y a 14 700 ans avec une augmentation des températures de plus de 10 degrés Celsius, en seulement 3 ans ! Puis, après un nouveau coup de froid, une hausse équivalente s’est produite en 60 ans il y a 11 700 ans, à la fin de la dernière période glaciaire.

Des analyses de carottes de glace du Groenland ont montré que 
« ces renversements climatiques se sont produits aussi abruptement que si quelqu’un avait soudainement appuyé sur un bouton », souligne Dorthe Dahl-Jensen, de l’université de Copenhague, coauteur de l’étude avec des chercheurs japonais et français du CEA et du CNRS.
N'en déplaise aux réchauffards qui nient l'influence des variations solaires sur le climat, les glaces ont conservé des marqueurs isotopiques des éruptions et super-éruptions du soleil, correspondant à des bouleversements climatiques rapides.
La dernière période glaciaire s’est donc achevée de manière très brutale, avec deux épisodes de réchauffement intense interrompus par une brève période froide. Le tout, il convient de le souligner, en l’absence de tout dégagement de gaz à effet de serre (CO2, méthane…) d’origine humaine. 

Quant à la dendrochronologie (étude des cernes des arbres y compris ceux pétrifiés) considérée comme une des meilleures méthodes de datation utilisées en archéologie pour les périodes remontant jusqu’au Mésolithique (env. 9000 ans B.P) elle enregistre des changements extrêmement brutaux et rapides, en plus chaud, plus froid, plus humide, plus sec... Sans aucune influence anthropique bien évidemment.
Confrontés à ce genre d'études, les réchauffards n'ont d'autre alternative que s'enferrer dans  le déni ou tricher délibérément. Et ils ne s'en privent pas !

Michael E. Mann, Prix Nobel, condamné 
pour fraude !
Ce golden boy du climat fut l'idole des téléphages Nord Américains friands de talk shows, avant d'être détrôné par une mongolienne capricieuse... Michael Mann (rien à voir avec son homonyme cinéaste) est un vrai scientifique. Géophysicien, expert en cristaux liquides et en matériaux supraconducteurs. Mais c'est aussi un caractériel souffrant d'un ego hypertrophié, ne supportant pas d'être contredit.
Or l'hypothèse du réchauffement de la planète repose initialement sur le graphique dit « en crosse de hockey » élaboré par cet individu. Ce graphique a servi au GIEC, aux médias et à divers gouvernements pour appuyer le discours sur le réchauffement.
Mais le graphique en crosse de hockey (900 ans de plat puis une montée en flèche sur les 80 dernières années) est une énorme fraude. Une tricherie sophistiquée. Reposant sur un algorithme conçu pour produire cette forme particulière, quelles que soient les données saisies. Comme l'a démontré le docteur Tim Ball dans son ouvrage « La corruption délibérée de la science du climat »
Michael Mann n’a pas apprécié d'être traité de fraudeur. Il a poursuivi son accusateur en justice pour diffamation. Et fin août 2019, la Cour suprême de Colombie-Britannique (Canada) a rejeté l’action de Mann contre le Docteur Tim Ball à l'issue d'une procédure de 9 ans... Et par voie reconventionnelle, Ball a obtenu que la fraude de Mann soit reconnue par la Cour et qu'il soit condamné à indemnisation et aux dépens. Les motifs de la cour sont intéressants :
« Michael Mann a refusé de remettre aux experts mandatés par la justice les chiffres de l'augmentation des températures qui révèlent selon le défendeur des manipulations de données ayant conduit à la modification du graphique dit de la crosse de hockey. Cette réticence à divulguer l’algorithme du graphique et les points de données, révèle le manque total de transparence et d’intégrité scientifique qui entache le travail prétendument scientifique de Mann. »
Au-delà du refus de Mann de communiquer ses calculs, la cour a probablement été influencée par des rédacteurs de la « Revue du M.I.T » (une sacrée référence !) lesquels ont affirmé que « la courbe de Mann est un artéfact mathématique médiocre dont on ne peut tirer aucune conclusion. »
A l'origine de toutes les fraudes, "l'oubli" de l'optimum médiéval pour lisser la courbe
Un autre procès se poursuit devant la Cour de Pennsylvanie pour les mêmes motifs, cette fois aggravés des incriminations pénales de falsifications et de parjure. Bientôt un réchauffard en pyjama orange ?
Et bravo au Docteur Tim Ball, qui en a comme son nom l'indique. Ce docteur en géographie et en climatologie évolutive ne s'est pas laissé intimider par la hiérarchie universitaire et par la meute médiatique lâchée à ses trousses par un adversaire ne reculant devant rien pour lui pourrir la vie.
On doit à Tim Ball une étude pluridisciplinaire écrite avec 7 co-auteurs concluant que « les températures de l'air printanier autour du bassin de la baie d'Hudson au cours des 70 dernières années ne montrent aucune tendance significative au réchauffement, et qu'en conséquence, la disparition annoncée de l'ours polaire est infondée. »

Élucubrations sur les glaciers de l'himalaya
En 2010, le GIEC a utilisé une étude prospective affirmant que tous les glaciers de l'Himalaya auraient fondu d'ici à 2350.
La plupart des glaciologues de montagne tiennent cette évaluation pour hautement improbable. Les astrologues du GIEC ont alors délibérément interverti les chiffres pour annoncer la fin du dernier glacier himalayen en 2035 ! Présenté comme ça, cela fait encore plus peur aux téléphages.
Ainsi le GIEC dyslexique a écrit dans son rapport AR4 que « au rythme actuel, les glaciers de l’Himalaya auront reculé de 500 000 km2 et disparu d'ici l'année 2035 ». Ces savants devraient retourner à l'école. Car les glaciers de l'Himalaya occupent une surface totale de 60.000 km2, cela figure dans n'importe quel manuel scolaire.
Après enquête, il est apparu que l'étude menée par des « experts éminents » avait été publiée par le WWF, le fonds pour la préservation de la faune sauvage, ami des tourterelles, des lémuriens et des pandas, qui n'a aucune compétence en matière de glaciologie et dont le siège social se trouve en Suisse à Gland (ça ne s'invente pas !)
Derrière ces incohérences, un nom apparaît de façon récurrente : celui de Rajendra Pachauri. L'homme décédé en 2020 était ingénieur ferroviaire ! Comme Jouzel est ingénieur atomiste... La climatologie a du être leur violon d'Ingres.
Pachauri patron du GIEC indien était aussi président du TERI (The Energy and Resources Institute) une entité liée au groupe industriel Tata : Aciéries, usines de fabrication de véhicules, centres de télécoms, commerce agroalimentaire, holdings financières... Pour un chiffre d'affaires annuel de l'ordre de 110 milliards de dollars US. La préoccupation réchauffiste de ces gens-là relève d'une vocation vraiment tardive !
Pachauri aurait embauché comme « distinguished Fellow » le promoteur de l'étude catastrophiste menée par WWF, un certain Syed Hassain, qui a tout nié en 2017 quand une enquête préliminaire a été ouverte.
Là dessus, un troisième comparse Sri Murai Lal a affirmé dans une interview au Daily Mail que les rédacteurs du GIEC savaient parfaitement que les prévisions concernant les glaciers de l'Himalaya étaient erronées mais considéraient que le discours sur la fonte des glaciers servait à encourager les décideurs politiques à passer à l'action. Et à la caisse.
En d'autres termes, Sri Rajendra Pachauri a délibérément publié dans le rapport du GIEC qui est tenu pour vérité révélée par les médias suivistes, une information falsifiée. Puis il s'en est servi, avec le concours de Syed Hassain pour récolter l'équivalent de plusieurs millions d'euros au profit de l'institut qu'il dirigeait. Assortis d'une rémunération personnelle confortable pour les mandats d'administrateur qu'il y exerçait. Si Pachauri est mort, ses complices ne sont pas exonérés pour autant... Pachauri était aussi poursuivi à 78 ans pour harcèlement sur une collaboratrice de 29 ans. Y'a pas à dire, l'écologie ça maintient vert !
Last but not least, le 7 février 2021 un glacier himalayen se fracasse à la suite d'un glissement de terrain, parti d'une faille observée depuis l'espace. Des morceaux du glacier tombent dans un fleuve qui déborde, provoquant la catastrophe de Tapovan.
Inutile de rappeler que les glaciers bougent, qu'ils sont soumis à des forces de compression et de dilatation, et qu'il y a toujours eu des poches d'eau  sous certains glaciers et des lacs glaciaires à leur moraine frontale.
Pour les réchauffards, pas l'ombre d'une hésitation, ce ne peut être qu'un effet de leur prétendu réchauffement cataclysmique !


Australia gate, la vindicte de réchauffards 
en action
Peter Ridd était un enseignant et un chercheur respecté attaché à la James Cook University (Queensland) Son domaine d'expertise était la grande barrière de corail.
En étudiant les causes du dépérissement des polypes, phénomène local que personne ne conteste, il a identifié plusieurs raisons dont la pollution marine liée aux rejets industriels et domestiques, et à la prolifération d'algues et d'animalcules qui colonisent le corail. Dès lors le soi-disant réchauffement climatique apparaît comme un phénomène marginal aix effets très largement surévalués.
Honnête, le docteur Ridd informe ses collègues de ses découvertes et essaye en vain de les publier dans le bulletin de l'université. Comme personne ne s'intéresse à ses travaux, et que ses collègues le mettent en quarantaine, il signe sa condamnation à la mort sociale en brisant l'omerta. Il vulgarise et publie des preuves d'erreurs devenant de la supercherie quand leurs auteurs s'enferrent, dans un quotidien local, puis dans un magazine national et sur le web.
L'abjuration de Galilée a encore des partisans ! Ridd est sommé de revenir sur ses propos, et comme il n’obtempère pas, on le vire purement et simplement. Après des années de procédure, il a réussi à faire condamner le 6 septembre 2019 son ancien employeur par la Cour d’Appel Fédérale qui lui a alloué 1,2 million de dollars australiens d'indemnités.
L’arrêt est particulièrement intéressant dans ses motifs puisqu’il prend en considération comme préjudices « la persécution, les brimades, et le harcèlement hystérique dont Ridd a été victime, jusque dans sa vie privée, alimentées par une vindicte systémique sans autre reproche que d'avoir exprimé une théorie non conforme à ce que professaient ses collègues. »

Africa Gate, encore une manipulation
Dans la locomotive destinée à enfumer les décideurs, pilotée en personne par l'ingénieur ferroviaire Pachauri, le GIEC a annoncé que le réchauffement allait diviser par deux les rendements agricoles des pays d'Afrique du fait de sécheresses accrues. D'ici à 2020. On y est. Mais comme pour les atolls disparus avant 2020 mais toujours là, les astrologues se sont trompés et ont trompé ceux qui ont gobé leurs calembredaines.
Il est vrai qu'une simple extrapolation des courbes depuis 1950 ne portait pas à l'optimisme. Mais aucune suite de données récentes ne venait étayer les affirmations du GIEC, sinon des citations partielles et partiales cueillies dans une obscure étude publiée par un « Institut du Développement Durable » que personne ne connaissait.
Une entité canadienne en quête de subventions, dont la communauté scientifique ignorait les travaux... Avec à sa tête un Marocain autoproclamé climatologue, auquel la justice de son pays s'intéresse.
Cet individu qui n'a aucune qualification scientifique prétend étudier les risques de sécheresses au Maghreb. Il ne s'agit en aucun cas de recherches documentées sur toute l'Afrique, mais d'études de scénarios locaux, destinés à être vendus sous forme de conseils climatiques aux entreprises...
En outre, les observations satellitaires montrent que si le Sahel ne verdit pas comme la Normandie, la désertification s'est arrêtée et les cultures regagnent un peu de terrain du fait d'une augmentation des précipitations et des progrès dans les techniques agricoles pilotées par la FAO. Mais ces informations sont superbement ignorées par le GIEC de même que les photos de National Geographic montrant qu'en Tunisie on regagne des zones de culture sur la désertification. En irriguant et en amendant la terre.

Macron gate N°1
Le 21 septembre 2017, le parti politique du conducator publie sur son site une page bourrée de chiffres effrayants sur les risques du réchauffement climatique.

Les « experts » du président affirment que 7.800.000 litres de glace fondent chaque seconde en Antarctique. Présenté de la sorte, ça fout la trouille (c'est d'ailleurs le but recherché) Mais 7800 m3 multipliés par 31.536.000 secondes, cela fait 246 Milliards de m3 fondant chaque année. Or le volume total de glace du pôle Sud est de 24 millions de milliards de m3. Donc le chiffre des experts macronards représente 0,001% du total de ces glaces polaires.

En outre la NASA en 2015 affirmait que « les gains de masse de l’Antarctique sont supérieurs aux pertes». Les chiffres présentés par la cellule élyséenne correspondent uniquement à la fonte, en oubliant les gains. Si on rétablit la balance, la perte annuelle représente, dans l'hypothèse la plus défavorable, 246 km3 de glace. C'est du même ordre de grandeur que les calculs d'une autre étude de la NASA chiffrant en 2016 à 232 km3 la fonte de la banquise. Compensée par un gain moyen de 245 Milliards de tonnes de glace annuels.

Or la surface totale des océans est de 360 Millions de km2. La fonte de la glace continentale impacterait la montée des eaux de 0,68mm par an, soit 7 cm par siècle... Nonobstant les mouvements vers le haut de la lithosphère et les apports des alluvions fluviaux et sédiments marins. Ainsi pour les satellites de la NASA, la fonte actuelle produit une hausse observée du niveau des mers de 0,4 mm/an, soit 4 cm par siècle... Tandis que la glace arctique, si elle fondait, ne ferait pas plus monter le niveau des mers qu'un glaçon ne fait déborder votre verre de whisky on the rocks.

Les chiffre des marcheurs étaient délibérément présentés pour capter de nouveaux flux financiers en vue de sauver le monde. Conséquence : des groupes anti-corruption attirent régulièrement l'attention de juges d'instruction et du parquet financier sur l'affectation réelle des sommes récoltées. Sans effets bien évidemment, tant que le conducator restera en place.

Amazone Gate
Un rapport du GIEC prétendait que 40% de la forêt amazonienne souffrait gravement d'une baisse des précipitations causée par le prétendu réchauffement global.
Or, il apparaît que la source émane là encore du WWF et de l'IUCN, une organisation politique intergouvernementale comme le GIEC et dont le siège social se trouve aussi à Gland (décidément ils le font exprès !) Tandis que l'article alarmiste mis en avant par le GIEC a été écrit par un éditorialiste politique et un journaliste free lance, écologiste activiste d'extrême gauche, selon le Daily Telegraph.
L'article de ces deux propagandistes donne pour unique source une étude de « Nature », revue scientifique sérieuse mais qui n'est pas hermétique aux pressions des réchauffards. Or le GIEC a choisi de ne pas mentionner cette revue qui lui est plutôt favorable. Pourquoi ?
Jacques Duran décédé en 2019, ancien directeur de recherches au CNRS et patron de l'institut supérieur de physique de Paris, auteur de « Pensée scientifique unique », expliquait que l'article de « Nature » évoquait une perte de biomasse provoquée par la déforestation et les feux de forêts, mais en aucun cas liée à une diminution du niveau des précipitations. Nulle part il n'y est fait mention dans l'article, pas plus que des 40% de forêt amazonienne en train de disparaître à cause du prétendu réchauffement cataclysmique.
Encore un trucage décelé ou comment détourner une info authentique en la modifiant, et en passant sous silence sa substance intrinsèque, pour la faire coller pile poil aux obsessions des climato-fanatiques.
On comprend pourquoi Bolsonaro a expulsé les truqueurs étrangers et fait coffrer quelques uns de leurs complices brésiliens, auteurs d'actes de violence et de sabotage de l'économie.

Malaria Gate
Paul Reiter est professeur d'entomologie médicale à l'institut Pasteur, spécialiste des maladies transmises par les insectes, dont la malaria. Reiter stigmatise les affirmations péremptoires du GIEC sur la propagation de la malaria, reposant sur des approximations qui d'après lui relèvent de la manipulation systématique des données.
Cette sommité mondialement reconnue, peine à se faire entendre en France. Mais la chambre des Lords britannique l'a auditionné à propos des erreurs diffusées par le GIEC. Son argumentation s'appuie sur le fait qu'un grand nombre d'études médicales abondent sur ce sujet... Toutes ignorées par le GIEC qui se réfère systématiquement à des articles écrits par des sociologues, des économistes et des journalistes, arguant tous d'une augmentation inquiétante de la maladie. À cause du réchauffement. Bien évidemment.
Reiter écrit : « Le public entend encore et encore qu’il y a un consensus scientifique, sur le réchauffement, et que nous sommes au bord du désastre. C’est un mensonge et un non-sens (...) Pendant des années, le public a été nourri avec des catastrophes et de la misère, servies par des alarmistes qui utilisent le langage de la science pour soutenir un agenda.»
Et il demande combien de millions de comprimés de nivaquine ® tant préventifs que curatifs ont été vendus à Nairobi et environs, après les affabulations de Al Gore. Expliquant : « Nairobi était déjà dangereusement infesté quand la ville a été fondée, non pour des raisons de climat favorable, mais pour servir une ligne de chemin de fer. La ville est maintenant plutôt épargnée par la malaria et l’endroit ne s’est pas réchauffé d'un degré (…) En fait, les épidémies de malaria ont été fréquentes jusqu’aux années 1950, quand le DDT a fait son apparition. Actuellement, la lutte contre la malaria a régressé de 20 ans à cause de l’interdiction du DDT.» (NDLR : un grand merci aux zékolos !)
Reiter a dénoncé au passage la mainmise d'activistes du WWF (qui vit de la charité publique et a tout intérêt à affoler le public et à mettre sous pression les gouvernants pour récolter des fonds) sur la rédaction des rapports prédisant une extension de la malaria... Avant de claquer la porte du GIEC dont il était consultant externe. Mais comme dans les sectes, on ne vous laisse pas partir comme ça ! Le name dropping a trop de valeur pour crédibiliser les gurus qui feignent de s'entourer d'experts, tous approbateurs dociles de leurs carabistouilles.
Cet éminent spécialiste de classe internationale a dû leur faire un procès pour que son nom soit retiré de la « liste des scientifiques soutenant le consensus climatique » !
Cet épisode de captation de réputation est à rapprocher du cas de Richard Lindzen, professeur au MIT, physicien expert en photochimie atmosphérique, membre de l’Académie américaine des sciences, qui après avoir été consultant pour le GIEC, fut ulcéré de voir le détournement qu'on faisait de ses travaux et eut lui aussi le plus grand mal à se faire rayer de la liste.
Reiter a profité de la tribune qui s'offrait à lui pour rappeler que la malaria n'est pas une maladie uniquement tropicale. On l'a connue en France autour des zones marécageuses de Sologne ou du Languedoc jusqu'à la fin du XIXème siècle, mais aussi en Sibérie dans les années 1920 et en Finlande qui compte de très nombreux lacs. La maladie fut contenue par l'assèchement des marais, une hygiène préventive et l'éradication des moustiques. Cependant, pour le GIEC, le paludisme est une maladie spécifiquement tropicale ! C'est dire le niveau scientifique de leurs « experts ».

Virus gate
La fonte du permafrost n'est pas nouvelle. Déjà au XVIII ème siècle, un aventurier russe Ivan Liakhov attendait le dégel estival pour récupérer des défenses de mammouths et en vendre l'ivoire. Et les Cosaques connaissaient le gisement bien avant lui. Mais la vérité historique est trop prosaïque.
Le cycle des saisons comme celui des climats embarrassent le GIEC. Puisqu'ils soulignent l'imposture de ses prophètes de malheur. Alors comme d'habitude, on sélectionne l'info, on la manipule, on l'interprète, on la martèle sur les médias main stream, et l'apparition « soudaine » de ces carcasses d'animaux préhistoriques est supposée constituer une preuve du prétendu réchauffement climatique.
Par ailleurs, on a trouvé dans le permafrost sibérien des virus gelés datés d'environ 30.000 à 40.000 ans. Ces êtres vivants simples étaient en état de vie suspendue, on les a « ressuscités ». Rien de nouveau. On sait faire depuis 20 ans. Mais avant d'être gelés ces virus étaient à l'air libre. Les humains vivant à proximité n'ont pas disparu pour autant... Et depuis 30.000 ou 40.000 ans, des dégels se sont succédés sans provoquer des contaminations de masse... 
En outre on a trouvé des virus préhistoriques endormis aussi anciens dans des grottes, sous des lacs asséchés, dans des mines se sel, et même à l'intérieur de fossiles. Ceux du permafrost sont une variété parmi d'autres. Ni plus ni moins pathogène. Mais l'opportunité était trop belle de lier ces virus au prétendu réchauffement pour terroriser les populations en prédisant de nouvelles pandémies.

Macron gate N° 2
Toujours en 2017, repris en 2018, le site « En Marche », affichait un chiffre apocalyptique sur un image stressante : 1 km2 de forêt disparaît à chaque seconde !
Sachant qu'il y a 31.536.000 secondes/an, hors années bissextiles, une telle cadence anéantirait 31 millions de km2, soit 25% de la surface des terres émergées chaque année. En mai 2021 la terre ressemblerait donc à la planète Mars.
Quant à « l'inéluctable accélération du processus de destruction » selon les macronards, cette prédiction est démentie par le professeur émérite David South de l'université d'Auburn Alabama qui, auditionné en 2018 par le sénat US rappela que si 2017 avait vu brûler environ 6 millions d’hectares... En 1930 on en avait dénombré 21 millions partis en fumée !
Dans le même ordre d'idée, la Banque Mondiale qui finance des filières bois, affirme dans une étude documentée qu'entre 1990 et 2010 la part des forêts naturelles sur l'ensemble des continents est passée de 31.8% à 30.8% avant de remonter au dessus de 32% tandis que les forêts d'exploitation et les surfaces cultivées s'accroissaient, gagnant sur les déserts, en raison des effets bénéfiques d'une légère augmentation du taux de CO2 ! Des phénomènes alternatifs donc, qui n'ont rien à voir avec les élucubrations des professeurs Philippulus.
En effet les forêts représentent environ 45 millions de Km2 sur des 150 millions des terres émergées. Les marcheurs se sont encore mélangés les pinceaux ! Une diminution de 1% en 25 ans correspond à une perte de 0,45 Millions de km2. Soit 18.000 km2/an. On est loin du chiffre mis en avant par les marcheurs qui vous font marcher. Et même galoper. L'hypothèse d'une telle erreur, supervisée par leur soi-disant comité scientifique est peu vraisemblable. On pense plutôt à une tentative d'enfumage pour récolter du pognon. Vous pouvez donner 500 € et plus en ligne. Avec le réchauffement, votre argent part encore plus vite en fumée!
Dans l'argumentaire réchauffiste, l'approximation et l'imprécision dans le meilleur de cas, côtoient des manipulations et des fraudes dans le pire, afin de convaincre les populations paniquées que seul un gouvernement mondial pourra les sauver de la fin du monde.
















vendredi 1 janvier 2021

Des modèles pas vraiment top

Interdit de séjour sur Facebook

et Twitter

Des modèles pas vraiment top


Par Christian Navis

Le GIEC n'est pas un organisme scientifique de référence !

Il pourrait être une institution internationale respectable s'il compilait des données brutes et les mettait à la disposition de la communauté scientifique. Au besoin en animant des débats où tous les points de vue seraient appelés à s'exprimer.

Mais ivres du pouvoir que leur confèrent certains politiciens, des professeurs et des chercheurs qui n'ont jamais rien trouvé d'autre que des subventions, s'aventurent dans des spéculations hasardeuses, prétendent prédire l'avenir et « guider l'action des gouvernements. »

En 2016, le groupe 3 du GIEC avouait : « Dans la majorité des cas, les projections sous-jacentes reflètent les choix particuliers de l’équipe de modélisation quant à la façon de conceptualiser l’avenir. Les scénarios de référence présentent un large éventail d’hypothèses concernant la croissance économique, la demande d’énergie et l’intensité carbone de l’énergie »

Par ailleurs, quand les faits démentent leurs allégations, ils n'hésitent pas à tricher, et à truquer les données, afin de conserver leur emprise sur des gens au bagage scientifique succinct et à la mince culture historique.

Parmi les nombreuses supercheries dénoncées sur ce site, celle de Puerto Casado (Paraguay) résume le modus operandi de beaucoup d'autres : On choisit des endroits éloignés, isolés, où espère-t-on personne n'ira voir... En on "ajuste" les relevés de températures avant de les intégrer dans le modèle unique du réchauffement cataclysmique.


L'ajustement des données, pour ne pas dire la fraude grossière, a été dénoncée par Terence Kealey, vice-président de l'Université de Buckingham, Peter Chylek, physicien attaché au labo de Los Alamos, Richard McNidier, professeur de physique atmosphérique à l' Université d'Alabama, Roman Mureika, universitaire expert en méthodologie statistique et Roger Pielkle Sr, professeur de climatologie à l'Université du Colorado.

Autre exemple dont les imposteurs manipulent l'information :
Le 7 février 2021 un glacier himalayen se fracasse à la suite d'un glissement de terrain, parti d'une faille observée depuis l'espace. Des morceaux du glacier tombent dans un fleuve qui déborde, provoquant la catastrophe de Tapovan.
Inutile de rappeler que les glaciers bougent, qu'ils sont soumis à des forces de compression et de dilatation, et qu'il y a toujours eu des poches d'eau  sous certains glaciers et des lacs glaciaires à leur moraine frontale.
Pour les réchauffards, pas l'ombre d'une hésitation, ce ne peut être qu'un effet de leur prétendu réchauffement cataclysmique !

Les bégaiements répétés de la fausse science

Qui se souvient que dans les années 1950, 1960, des scientifiques du style professeurs Cosinus aux vues étroites affirmaient que les systèmes planétaires devaient être extrêmement rares dans le cosmos ?

Qui se souvent qu'à cette même époque, des savants du genre mandarins sans imagination clamaient que Neandertal et Cro Magnon ne pouvaient être interféconds ?

Dans le premier cas, la logique conduisait à réfuter cette théorie, lointaine héritière du géocentrisme, selon laquelle notre étoile et notre terre seraient uniques dans l'univers.

Dans le second, on connaissait en Europe et au Proche Orient des squelettes dits « mixtes » associant des caractéristiques des 2 espèces. Mais on refusait de les voir, attribuant à des maladies ou à une dégénérescence ces anomalies.

Nul ne devait remettre en cause la doxa, et surtout pas de jeunes assistants impudents et irrespectueux.

L'informatique balbutiait encore, mais des théoriciens bornés élaboraient déjà avec leurs règles à calcul des tableaux et des graphes conduisant à des modèles ayant la prétention de tout expliquer. Des trucs d'illusionnistes pour enliser les conformistes dans leur marécage intellectuel.

Le mental de l'humain reproduit les mêmes dysfonctionnements d'une génération à l'autre, car les cuistres ne sont pas prêts de partager leur minuscule pouvoir académique. Ainsi fonctionne, de façon élargie, la secte réchauffiste, avec ses gurus, ses adeptes, ses thuriféraires et ses suiveurs.

Les prédictions extravagantes du GIEC

Cet organisme politique fondé en 1988 par Margaret Thatcher et Ronald Reagan poursuivait des objectifs qui n'avaient rien d'écolo : Pour la première, mettre au pas les mineurs britanniques trop souvent grévistes à son goût, et faire accepter l'énergie nucléaire à une opinion publique réticente.

Pour le second, sortir du marasme économique par des innovations rendant obsolètes les anciennes structures, en incitant les financiers à investir dans des secteurs à défricher en quête de nouveaux profits, conformément au principe de destruction créatrice élaboré par Schumpeter.

Le réchauffement planétaire anthropique fut leur alibi et la clé de voûte d'une propagande qui dépassa ses initiateurs.

L'outil de lavage de cerveaux fut, là comme ailleurs, l'utilisation des médias audiovisuels aux ordres, chargés de trier les infos en occultant celles qui contredisaient la nouvelle théorie, tout en commençant à répandre la terreur de la fin du monde prochaine.

En 1989, Henri Sannier présentateur de JT français annonçait Waterworld avant 10 ans, l'envahissement par la mer de toutes les villes côtières et îles basses, d'après le bureau de l'environnement de l'ONU, précurseur du GIEC...


On voit d'un simple coup d'œil l'imminence du déluge annoncé !

Tandis que, pour ne pas être en reste, ses confrères ne tardaient pas à répercuter les prédictions catastrophistes des astrologues du GIEC :

Plus de neige en France dès 2010

Submersion des deltas des grands fleuves dans les 20 ans à venir,

Engloutissement des atolls du Pacifique au plus tard en 2020

Fonte des glaciers de l'Antarctique dans le même laps de temps,

Disparition des « neiges éternelles » de l'Himalaya avant 2030

Fort heureusement, rien de tout cela ne s'est produit :

La neige continue à tomber l'hiver dans les zones tempérées, et depuis 2015, au Brésil, au Sahara et en Arabie où il a commencé à neiger,

Les deltas se sont légèrement développés en se modifiant grâce aux apports des alluvions et aux dépôts des courants marins,

Les atolls sont stables ou sujets à un exhaussement progressif du fait de la sédimentation des rivages et des mouvements de la lithosphère,

Les glaciers himalayens gagnent et perdent régulièrement en épaisseur et superficie selon des mouvements cycliques connus,

Les mesures au sol comme les vues satellite s'accordent sur une refroidissement constant de l'Antarctique depuis 30 ans,

La réalité : les cycles glaciaires. La prédiction : la fonte des glaces

Les prévisions du GIEC, colportées par des Greta et autres simples d'esprit, plus fantaisistes et irréalistes les une que les autres, ont déclenché des vagues de démissions de chercheurs qui ne veulent plus être associés à ces élucubrations.

Mais cette officine pratique ouvertement le "name dropping" pour gagner en crédibilité, et continue d'associer sans vergogne des dissidents et des opposants à sa propagande. Surtout s'ils ont une réputation de scientifiques sérieux et émérites. 

Si l'on exclut la supercherie délibérée, chiffres trafiqués, courbes truquées, des manœuvres aisément démontrables tant elles sont pitoyables, dans la plupart des cas, les coupables s'appellent « les modèles »

Le modèle le prétend, donc c'est vrai !

Un culte est voué aux modèles. Nul ne peut blasphémer en doutant des modèles ! Pourtant ce ne sont que des constructions intellectuelles spéculatives reposant sur des apriori.

En théorie, les modèles s'articulent sur des systèmes d'équations différentielles i.e qui cherchent à établir des relations entre des fonctions inconnues et leurs dérivées aléatoires. Du solide quoi !

Certes on évoque les lois de la physique, de la chimie et de la mécanique des fluides, mais on les applique au petit bonheur la chance. La présentation numérique avec distorsions visuelles sur commande est censée renforcer le sérieux de la démarche... Mais on peut aussi numériser une crotte de chien en 3D !

La planète est subdivisée en grilles tridimensionnelles émiettées où on reporte sur chaque élément des suites séquentielles renforcées d'extrapolations plus ou moins cohérentes.

Puis on évalue les résultats à l'aune des interactions supposées avec les points voisins. Sans risque de surprises, puisqu'on a programmé d'avance dans chaque case 3D les écarts thermiques « probables » en fonction des vents « possibles », du rayonnement solaire « envisageable » , de l'hydrologie et de l'humidité « plausibles ». Comme si les phénomènes atmosphériques correspondaient toujours aux schémas théoriques.

Il s'agit donc au mieux d'approximations qui, la plupart du temps, s'écartent des observations de terrain. Ou les infirment totalement. D'où la tentation de « compenser les écarts » (= tricher en novlangue) pour ne pas perdre la face. C'est aussi une des méthodes de prédilection des sondeurs politiques.



            Fiabilité des modèles et observations réelles 

Des modèles trompeurs à ne pas suivre !

Les béotiens matraqués par la propagande médiatique ont fini par tenir pour infaillibles les modèles du GIEC.

Une aura de science qui impressionne les ignorants, servie par des « intellectuels » en blouse et barbe blanches, dignes et sérieux, renforcés par des escouades de jeunes ambitieux au léger vernis, courant après les subventions. Et une abondance de termes de pataphysique pour impressionner le bon peuple.

Or il faut rappeler cette évidence : un modèle ne rend que ce qu'on y a mis dedans. Le cas le plus typique est la courbe en crosse de hockey de Mann, le Saint Graal du GIEC, abandonnée après que le MIT l'ait qualifiée « d’artefact mathématique médiocre », et la justice de « fraude caractérisée ».

Son auteur avait tout simplement lissé 1000 ans d'évolution climatique, gommant l'optimum médiéval et amplifié le léger réchauffement observé depuis le petit âge glaciaire. Cécité ou complicité, personne n'avait rien vu. Ou n'osait protester. Le docteur Tim Ball géo climatologue qui réussit à faire condamner Mann subit l'opprobre de ses pairs et des pressions soutenues des éditeurs et des organisateurs de colloques, au cours d'un procès qui dura près de 10 ans.




Les autres modèles du GIEC ne sont pas des supercheries aussi grossières. Instruits par les déboires de Mann, les affabulateurs opèrent désormais par petites touches plus discrètes. N'hésitant quand même pas à redresser les courbes pour qu'elles aillent toutes dans le « bon sens », celui d'un réchauffement accéléré et cataclysmique.


 C'est au moment où le GIEC ne sait pas expliquer la fin du réchauffement cyclique que le tapage médiatique est le plus fort pour occulter le phénomène !

Loin de la pratique consistant à observer et répertorier des faits, puis à chercher des corrélations entre eux suggérant des tendances permettant d'en tirer une loi, avant d'en vérifier les tenants et aboutissants lors d'expérimentations renouvelables, en soumettant sa méthodologie à ses pairs... Méthode scientifique classique, hors physique quantique...

Les gens du GIEC assènent des axiomes se renforçant les uns les autres, ne retenant que les données les confortant, et écartant, modifiant ou marginalisant celles incompatibles avec leurs conclusions prédéterminées ! Et ceci aboutit à un paradigme présenté comme irréfragable.

D'autant plus que le GIEC est devenu un club privé où l'on se coopte entre réchauffistes. Et que, dans certains pays dont la France, les pouvoirs politiques et la pression médiatique prétendent imposer une vérité scientifique officielle.

Comme en d'autres temps pour le géocentrisme, le lyssenkisme, la phrénologie ou la "science raciale" des nazis, une circulaire de Pécresse quand elle était ministresse des universités interdit de seulement faire allusion aux théories anti-réchauffistes. Or la vraie science n'a nul besoin des diktats des politiciens pour appuyer ou réfuter ses démonstrations.

Perroquets instruits, craintifs ou flatteurs

J'appartiens à une génération à la fois cartésienne et contestataire. Non seulement on appliquait à la lettre les schémas d'analyse critique du discours de la méthode, mais avec une suave perversité on se délectait à étriper les vaches sacrées pour voir ce qu'elles avaient dans le ventre.

Aujourd'hui, je suis stupéfait de constater la soumission et l'absence de réflexion personnelle chez la plupart des jeunes scientifiques avec lesquels il m'arrive parfois de débattre. Parce que certains Bac + 8 ou + 10 s'alignent de façon pavlovienne sur les vaticinations d'une mongolienne semi-illettrée mais médiatisée. Abdication de la raison au profit de la pression sociale !

Avant 30 ans, beaucoup de ces jeunes scientifiques sont déjà formatés. Crainte révérencielle des mandarines et des mandarins, susceptibles de briser la carrière d'un hérétique, et ambition d'accéder à un poste de chercheur ou d'enseignant au prix d'une indigestion de couleuvres avalées, pour une minorité de cyniques qui savent à quoi s'en tenir mais font « comme si ». Sans doute, mais pas que... Même si leurs craintes sont justifiées !

Vous osez discuter ? On vous vire ! Au nom d'un prétendu consensus qui proscrit le doute...

Parmi les victimes les plus connues de la vindicte réchauffiste, cette liste non exhaustive : Hendrik Tennekes viré du poste de directeur de la recherche de l'institut météorologique hollandais, Aksel Winn-Nielsen, ancien directeur de l'Organisation Météorologique Mondiale, éjecté, ou encore les éminents universitaires italiens Alfonso Sutera et Antonio Speranza privés de tout crédit de recherche. Les uns et les autres coupables d'avoir contesté les fondements de l'hypothèse du prétendu réchauffement climatique anthropique.

Mais aussi Suzan Crockford docteur en zoologie virée de l’université de Victoria pour avoir dénoncé le détournement de photos d'ours blancs cachectiques, cancéreux ou grièvement blessés, dont l'état de faiblesse était imputé au réchauffement climatique. Tandis que, depuis 20 ans, leur population globale s'est accrue de près de 50% infirmant les clameurs annonçant la disparition de cette espèce !

Mais encore Peter Ridd universitaire à la James Cook University du Queensland renvoyé pour avoir attribué le dépérissement des coraux à la pollution marine liée aux rejets industriels et domestiques, et à la prolifération d'algues et d'animalcules qui colonisent le corail. Au lieu de dénoncer comme unique cause le soi-disant réchauffement anthropique. 

Au procès, les attendus de la cour furent révélateurs : « Ayant refusé de signer des articles dans lesquels il avouait avoir eu tort (NDLR : façon procès staliniens de Moscou) Ridd a été victime de persécutions, de brimades, et d'un harcèlement hystérique jusque dans sa vie privée, alimentés par une vindicte systémique sans autre reproche que d'avoir exprimé une théorie non conforme à ce que professaient ses collègues. »

Quant à la France, est-il utile de rappeler les tombereaux d'injures déversés par les médias aux ordres sur Claude Allègre,  médaille d'or du CNRS et membre de l'Académie des Sciences ? Avec cet argument spécieux : « Il n'est pas climatologue ! » Sans dire que les 2 patrons du GIEC de l'époque, le Français Jouzel et l'Indien Pachauri étaient l'un physicien atomiste et l'autre ingénieur ferroviaire.

On est loin de l'esprit de Harvard où le prof n'est pas là pour imposer sa théorie et ses lubies. Ce sont les étudiants qui, en discutant, analysent des données concrètes et en extraient des conclusions pouvant déboucher sur des concepts. Provisoires parce qu'ils seront à leur tour passés au crible de la critique constructive. Évidemment, quand on retourne en France, on a du mal à se débarrasser de ces « mauvaises habitudes » . 

Avantage de la démarche : On apprend à peser le pour et le contre pour se forger une opinion, et à défendre son point de vue à coup d'arguments et de contre-arguments. C'est une approche confrontée à la réalité des faits, très loin du cours magistral destiné à formater des imbéciles instruits.

En France, sont considérées comme des vertus l'incapacité à sortir des chemins balisés parce que l'enseignement secondaire et supérieur des 50 dernières années s'est ingénié à raboter le sens critique, annihiler l'esprit frondeur, condamner le goût des discussions hors piste, et rejeter cet extraordinaire stimulus pour l'esprit qu'est la remise en cause des théories qu'on croit acquises pour les exploser, et en explorer de nouvelles.

Des voyants à la vue trouble

L'évolution des climats dépend d'une multitude de paramètres, la plupart aléatoires, qu'on parvient à sérier séparément mais dont on a le plus grand mal a déterminer l’inter connectivité parce que celle-ci est également conjoncturelle et ponctuelle.

Prétendre maîtriser l'ensemble de ces paramètres, en les confiant à un ordinateur qui pratique des tris croisés et des extrapolations selon le programme qu'on lui a implémenté, témoigne d'une extraordinaire suffisance confinant à l'arrogance.

La plus énorme erreur est de vouloir fixer des tendances s'appliquant partout de la même manière, avec une obsession maniaque : Prédire et justifier le réchauffement global. Et une cécité ahurissante attribuant un rôle prépondérant au CO2 responsable de tous les maux !

C'est tout simplement ascientifique car le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau. H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2 (= 0,04%)

Or dans les modèles du GIEC, le CO2 vire à l'idée fixe quand, dans l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1

C'est la vapeur d'eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infrarouges, le reste étant imputable à d'autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s'accumule pas par additions successives !

En outre, les "savants" du GIEC ignorent l’effet du gradient thermique vertical : L'air chaud monte et perd 2°C/1.000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12° à 2000 m.

Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit avec la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d'accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.

Demain peut-être le refroidissement climatique?

Pied de nez au GIEC et à ses astrologues, des astrophysiciens se fiant à une baisse constante de l'activité solaire ont émis l'hypothèse qu'on pourrait connaître une période glaciaire de quelques siècles semblable à celle consécutive au « minimum de Maunder » à partir de 2030.

Coïncidence ? L'inénarrable Jouzel que les brosses à reluire des télés présentaient comme un prix Nobel (excusez du peu !) du fait de sa seule appartenance au GIEC, professait qu'une nouvelle ère glaciaire s'annonçait. Oui mais ça c'était avant. Avant que le GIEC l'embauche.

Pour Richard Lindzen, professeur au MIT et physicien spécialiste de l'étude de l'atmosphère : « Il n'y a pas de consensus, unanime ou non, sur les tendances de long terme du climat et sur leurs causes  (…) Nous ne sommes pas en position d'attribuer avec suffisamment de confiance les changements climatiques passés au dioxyde de carbone ou de prédire ce que le climat sera dans le futur »

Tandis que feu Frédérick Seitz, physicien expert en structure des matériaux et rayonnements ionisants, et  président de l'Académie des Sciences des USA, disait « Il n’existe aucune preuve scientifique convaincante indiquant que les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère de la Terre et une rupture de son climat.»

Contre la science, pensée unique et pensée magique

Les cycles climatiques courts (siècles) et intermédiaires, (millénaires) sont fonction d'abord de l'activité solaire, à laquelle il convient d'ajouter pour les cycles longs une incidence plus marquée des variations d’orbite de la terre, des changements de son inclinaison et de son axe de rotation. Avec à la marge les grandes éruptions volcaniques.

Ce sont les paramètres de Milankovitch. 


Les paramètres de Milankovitch ont été validés par la science expérimentale :

Par l'analyse des isotopes de l'oxygène dans les glaciers, la paléoclimatologie confirme les corrélations avec les éruptions solaires et les ralentissements d'activité de notre astre.

La cyclostratigraphie entérine la théorie astronomique des climats, par l'analyse des cycles sédimentaires qui sont autant d'indicateurs dans les dépôts carbonés stratifiés de l'influence de la précession, de l'obliquité et de l'excentricité.

Sur des périodes plus courtes de l'ordre de 10.000 ans, le dendrochronologie étudie des cernes des arbres y compris fossilisés, révélant la succession des période chaudes, froides, sèches, humides et leur durée.

Mais qu'importe ! Les réchauffistes sont persuadés de savoir distinguer le Vrai du Faux, le Bien du Mal, comme leur Greta voit et sent le CO2, et se sont auto-investis de la mission sacrée de protéger l'espèce humaine contre ses propres erreurs.

Ils annoncent des cataclysmes qui correspondent à des événements climatiques extrêmes comme on en a toujours connu, en taisant qu'en 1931 : 3,7 millions de personnes sont mortes du fait de catastrophes naturelles. Pour 11.000 seulement en 2018. Alors qu'entre temps, la population mondiale a quadruplé.

Pour les chamanes de la nouvelle religion réchauffarde, tous ceux qui ne pensent pas comme eux sont dans le Faux et le Mal, et menacent la survie de l'humanité. Les réchauffistes ont donc un devoir impératif de museler tous ceux qui contestent leurs lubies. C'est une logique d'inquisiteur. Ou de stalinien. Ou de Khmer rouge repeint en vert.

Le réchauffisme est une religion laïque comme était le communisme au siècle précédent. Avec son dogme, ses rites, ses messes, son haut et bas clergé, ses ouailles, sa sainte bécasse, sa bureaucratie lourde, sa propagande omniprésente, ses interdits alimentaires (« devenez végétariens pour sauver le monde !») et son inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques.

Bien entendu cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que de toute façon les réchauffistes esquivent en traitant par l'anathème et l'excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable !










L'imposture climatique ne connaît plus de limites ! * MAJ 28/06/2024

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