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Des modèles pas vraiment top
Par
Christian
Navis
Le
GIEC n'est pas un organisme scientifique de référence !
Il
pourrait être une institution internationale respectable s'il
compilait des données brutes et les mettait à la disposition de la
communauté scientifique. Au besoin en animant des débats où tous
les points de vue seraient appelés à s'exprimer.
Mais
ivres du pouvoir que leur confèrent certains politiciens, des
professeurs et des chercheurs qui n'ont jamais rien trouvé d'autre
que des subventions, s'aventurent dans des spéculations hasardeuses,
prétendent prédire l'avenir et « guider l'action des
gouvernements. »
En 2016, le groupe 3 du GIEC avouait : « Dans la majorité des cas, les projections sous-jacentes reflètent les choix particuliers de l’équipe de modélisation quant à la façon de conceptualiser l’avenir. Les scénarios de référence présentent un large éventail d’hypothèses concernant la croissance économique, la demande d’énergie et l’intensité carbone de l’énergie ».
Par ailleurs, quand les faits démentent leurs allégations, ils n'hésitent pas à
tricher, et à truquer les données, afin de conserver leur emprise
sur des gens au bagage scientifique succinct et à la mince culture
historique.
Parmi les nombreuses supercheries dénoncées sur ce site, celle de Puerto Casado (Paraguay) résume le modus operandi de beaucoup d'autres : On choisit des endroits éloignés, isolés, où espère-t-on personne n'ira voir... En on "ajuste" les relevés de températures avant de les intégrer dans le modèle unique du réchauffement cataclysmique.
L'ajustement des données, pour ne pas dire la fraude grossière, a été dénoncée par Terence Kealey, vice-président de l'Université de Buckingham, Peter Chylek, physicien attaché au labo de Los Alamos, Richard McNidier, professeur de physique atmosphérique à l' Université d'Alabama, Roman Mureika, universitaire expert en méthodologie statistique et Roger Pielkle Sr, professeur de climatologie à l'Université du Colorado.
Autre exemple dont les imposteurs manipulent l'information :
Le 7 février 2021 un glacier himalayen se fracasse à la suite d'un glissement de terrain, parti d'une faille observée depuis l'espace. Des morceaux du glacier tombent dans un fleuve qui déborde, provoquant la catastrophe de Tapovan. Inutile de rappeler que les glaciers bougent, qu'ils sont soumis à des forces de compression et de dilatation, et qu'il y a toujours eu des poches d'eau sous certains glaciers et des lacs glaciaires à leur moraine frontale.
Pour les réchauffards, pas l'ombre d'une hésitation, ce ne peut être qu'un effet de leur prétendu réchauffement cataclysmique !
Les
bégaiements répétés de la fausse science
Qui
se souvient que dans les années 1950, 1960, des scientifiques du style professeurs Cosinus aux vues étroites affirmaient que les
systèmes planétaires devaient être extrêmement rares dans le
cosmos ?
Qui
se souvent qu'à cette même époque, des savants du genre mandarins
sans imagination clamaient que Neandertal et Cro Magnon ne
pouvaient être interféconds ?
Dans
le premier cas, la logique conduisait à réfuter cette théorie,
lointaine héritière du géocentrisme, selon laquelle notre étoile
et notre terre seraient uniques dans l'univers.
Dans
le second, on connaissait en Europe et au Proche Orient des
squelettes dits « mixtes » associant des caractéristiques
des 2 espèces. Mais on refusait de les voir, attribuant à des
maladies ou à une dégénérescence ces anomalies.
Nul
ne devait remettre en cause la doxa, et surtout pas de jeunes
assistants impudents et irrespectueux.
L'informatique
balbutiait encore, mais des théoriciens bornés élaboraient déjà
avec leurs règles à calcul des tableaux et des graphes conduisant à
des modèles ayant la prétention de tout expliquer. Des trucs
d'illusionnistes pour enliser les conformistes dans leur marécage
intellectuel.
Le
mental de l'humain reproduit les mêmes dysfonctionnements d'une
génération à l'autre, car les cuistres ne sont pas prêts de
partager leur minuscule pouvoir académique. Ainsi fonctionne, de façon
élargie, la secte réchauffiste, avec ses gurus, ses adeptes, ses thuriféraires et ses
suiveurs.
Les
prédictions extravagantes du GIEC
Cet
organisme politique fondé en 1988 par Margaret Thatcher et Ronald
Reagan poursuivait des objectifs qui n'avaient rien d'écolo :
Pour la première, mettre au pas les mineurs britanniques trop souvent
grévistes à son goût, et faire accepter l'énergie nucléaire à
une opinion publique réticente.
Pour
le second, sortir du marasme économique par des innovations rendant
obsolètes les anciennes structures, en incitant les financiers à
investir dans des secteurs à défricher en quête de nouveaux
profits, conformément au principe de destruction créatrice élaboré par Schumpeter.
Le
réchauffement planétaire anthropique fut leur alibi et la clé de
voûte d'une propagande qui dépassa ses initiateurs.
L'outil
de lavage de cerveaux fut, là comme ailleurs, l'utilisation des
médias audiovisuels aux ordres, chargés de trier les infos en
occultant celles qui contredisaient la nouvelle théorie, tout en
commençant à répandre la terreur de la fin du monde prochaine.
En
1989, Henri Sannier présentateur de JT français annonçait Waterworld avant 10 ans, l'envahissement par la mer de
toutes les villes côtières et îles basses, d'après le bureau de l'environnement de l'ONU, précurseur du GIEC...
On voit d'un simple coup d'œil l'imminence du déluge annoncé !
Tandis que, pour ne pas être en
reste, ses confrères ne tardaient pas à répercuter les prédictions
catastrophistes des astrologues du GIEC :
Plus
de neige en France dès 2010
Submersion
des deltas des grands fleuves dans les 20 ans à venir,
Engloutissement
des atolls du Pacifique au plus tard en 2020
Fonte
des glaciers de l'Antarctique dans le même laps de temps,
Disparition
des « neiges éternelles » de l'Himalaya avant 2030
Fort
heureusement, rien de tout cela ne s'est produit :
La
neige continue à tomber l'hiver dans les zones tempérées, et depuis 2015, au Brésil, au Sahara et en Arabie où il a commencé à neiger,
Les
deltas se sont légèrement développés en se modifiant grâce aux apports des
alluvions et aux dépôts des courants marins,
Les
atolls sont stables ou sujets à un exhaussement progressif du fait de
la sédimentation des rivages et des mouvements de la lithosphère,
Les
glaciers himalayens gagnent et perdent régulièrement en épaisseur et superficie
selon des mouvements cycliques connus,
Les mesures au sol comme les vues satellite s'accordent sur une refroidissement constant de l'Antarctique depuis 30 ans,
La réalité : les cycles glaciaires. La prédiction : la fonte des glaces
Les prévisions du GIEC, colportées par des Greta et autres simples d'esprit, plus fantaisistes et irréalistes les une que les
autres, ont déclenché des vagues de démissions de chercheurs
qui ne veulent plus être associés à ces élucubrations.
Mais cette officine pratique ouvertement le "name dropping" pour gagner en crédibilité, et continue d'associer sans vergogne des dissidents et des opposants à sa propagande. Surtout s'ils ont une réputation de scientifiques sérieux et émérites.
Si
l'on exclut la supercherie délibérée, chiffres trafiqués, courbes
truquées, des manœuvres aisément démontrables tant elles sont
pitoyables, dans la plupart des cas, les coupables s'appellent « les
modèles »
Le modèle le prétend, donc c'est vrai !
Un
culte est voué aux modèles. Nul
ne peut blasphémer en doutant des modèles ! Pourtant ce ne sont que des constructions intellectuelles spéculatives reposant sur des apriori.
En
théorie, les
modèles s'articulent sur des systèmes d'équations différentielles
i.e qui cherchent à établir des relations entre des fonctions
inconnues et leurs dérivées aléatoires. Du solide quoi !
Certes
on évoque les lois de la physique, de la chimie et de la mécanique
des fluides, mais on les applique au petit bonheur la chance. La
présentation numérique avec distorsions visuelles sur commande est
censée renforcer le sérieux de la démarche... Mais
on peut aussi numériser une crotte de chien en 3D !
La
planète est subdivisée en grilles tridimensionnelles émiettées où
on reporte sur chaque élément des suites séquentielles renforcées
d'extrapolations plus ou moins cohérentes.
Puis
on évalue les résultats à l'aune des interactions supposées avec
les points voisins. Sans risque de surprises, puisqu'on a programmé
d'avance dans chaque case 3D les écarts thermiques « probables »
en fonction des vents « possibles », du rayonnement
solaire « envisageable » , de l'hydrologie et de
l'humidité « plausibles ». Comme si les phénomènes
atmosphériques correspondaient toujours aux schémas théoriques.
Il
s'agit donc au mieux d'approximations qui, la plupart du temps,
s'écartent des observations de terrain. Ou les infirment totalement. D'où la tentation de
« compenser les écarts » (= tricher en novlangue) pour
ne pas perdre la face. C'est
aussi une des méthodes de prédilection des sondeurs politiques.
Fiabilité des modèles et observations réelles
Des
modèles trompeurs à ne pas suivre !
Les
béotiens matraqués par la propagande médiatique ont fini par tenir
pour infaillibles les modèles du GIEC.
Une
aura de science qui impressionne les ignorants, servie par des
« intellectuels » en blouse et barbe blanches, dignes et
sérieux, renforcés par des escouades de jeunes ambitieux au léger
vernis, courant après les subventions. Et une abondance de termes de
pataphysique pour impressionner le bon peuple.
Or
il faut rappeler cette évidence : un modèle ne rend que ce
qu'on y a mis dedans. Le
cas le plus typique est la courbe en crosse de hockey de Mann, le
Saint Graal du GIEC, abandonnée après que le MIT l'ait qualifiée
« d’artefact mathématique médiocre », et la justice
de « fraude caractérisée ».
Son
auteur avait tout simplement lissé 1000 ans d'évolution climatique,
gommant l'optimum médiéval et amplifié le léger réchauffement observé depuis le petit âge glaciaire. Cécité ou complicité, personne
n'avait rien vu. Ou n'osait protester. Le docteur Tim Ball géo
climatologue qui réussit à faire condamner Mann subit l'opprobre de
ses pairs et des pressions soutenues des éditeurs et des
organisateurs de colloques, au cours d'un procès qui dura près de
10 ans.
Les
autres modèles du GIEC ne sont pas des supercheries aussi
grossières. Instruits par les déboires de Mann, les affabulateurs
opèrent désormais par petites touches plus discrètes. N'hésitant
quand même pas à redresser les courbes pour qu'elles aillent toutes
dans le « bon sens », celui d'un réchauffement accéléré
et cataclysmique.
C'est au moment où le GIEC ne sait pas expliquer la fin du réchauffement cyclique que le tapage médiatique est le plus fort pour occulter le phénomène !
Loin
de la pratique consistant à observer et répertorier des faits, puis
à chercher des corrélations entre eux suggérant des tendances permettant d'en tirer une loi, avant d'en vérifier les
tenants et aboutissants lors d'expérimentations renouvelables, en
soumettant sa méthodologie à ses pairs... Méthode scientifique
classique, hors physique quantique...
Les
gens du GIEC assènent des axiomes se renforçant les uns les autres,
ne retenant que les données les confortant, et écartant, modifiant ou
marginalisant celles incompatibles avec leurs conclusions prédéterminées ! Et ceci
aboutit à un paradigme présenté comme irréfragable.
D'autant
plus que le GIEC est devenu un club privé où l'on se coopte entre
réchauffistes. Et que, dans certains pays dont la France, les
pouvoirs politiques et la pression médiatique prétendent imposer une vérité scientifique
officielle.
Comme
en d'autres temps pour le géocentrisme, le lyssenkisme, la phrénologie ou la "science raciale" des nazis, une circulaire
de Pécresse quand elle était ministresse des universités interdit
de seulement faire allusion aux théories anti-réchauffistes. Or la vraie science n'a nul besoin des diktats des politiciens pour appuyer ou réfuter ses démonstrations.
Perroquets
instruits, craintifs ou flatteurs
J'appartiens
à une génération à la fois cartésienne et contestataire. Non
seulement on appliquait à la lettre les schémas d'analyse critique du
discours de la méthode, mais avec une suave perversité on se
délectait à étriper les vaches sacrées pour voir ce qu'elles
avaient dans le ventre.
Aujourd'hui,
je suis stupéfait de constater la soumission et l'absence de
réflexion personnelle chez la plupart des jeunes scientifiques avec
lesquels il m'arrive parfois de débattre. Parce que certains Bac + 8 ou + 10 s'alignent de façon
pavlovienne sur les vaticinations d'une mongolienne semi-illettrée mais médiatisée. Abdication de la raison au
profit de la pression sociale !
Avant
30 ans, beaucoup de ces jeunes scientifiques sont déjà formatés. Crainte
révérencielle des mandarines et des mandarins, susceptibles de briser
la carrière d'un hérétique, et ambition d'accéder à un poste de
chercheur ou d'enseignant au prix d'une indigestion de couleuvres avalées,
pour une minorité de cyniques qui savent à quoi s'en tenir mais
font « comme si ». Sans
doute, mais pas que... Même
si leurs craintes sont justifiées !
Vous osez discuter ? On vous vire ! Au nom d'un prétendu consensus qui proscrit le doute...
Parmi
les victimes les plus connues de la vindicte réchauffiste, cette liste non exhaustive : Hendrik
Tennekes viré du
poste de directeur de la recherche de l'institut météorologique
hollandais, Aksel Winn-Nielsen, ancien directeur de l'Organisation
Météorologique Mondiale, éjecté, ou encore les éminents
universitaires italiens Alfonso Sutera et Antonio Speranza privés de
tout crédit de recherche. Les
uns et les autres coupables d'avoir contesté les fondements de l'hypothèse du prétendu réchauffement climatique anthropique.
Mais aussi Suzan
Crockford docteur en zoologie virée de l’université de
Victoria pour avoir dénoncé le détournement de photos d'ours blancs cachectiques, cancéreux ou grièvement blessés, dont l'état de faiblesse était imputé au réchauffement climatique. Tandis que, depuis 20 ans, leur population globale s'est accrue de près de 50% infirmant les clameurs annonçant la disparition de cette espèce !
Mais encore Peter Ridd universitaire à la James Cook University du Queensland
renvoyé pour avoir attribué le dépérissement des coraux à la
pollution marine liée aux rejets industriels et domestiques, et à
la prolifération d'algues et d'animalcules qui colonisent le
corail. Au lieu de dénoncer comme unique cause le soi-disant réchauffement anthropique.
Au
procès, les attendus de la cour furent révélateurs : « Ayant refusé de signer des articles dans lesquels il avouait avoir eu tort (NDLR : façon procès staliniens de Moscou) Ridd
a été victime de persécutions, de brimades, et d'un harcèlement
hystérique jusque dans sa vie privée, alimentés par une vindicte
systémique sans autre reproche que d'avoir exprimé une théorie non
conforme à ce que professaient ses collègues. »
Quant à la France, est-il utile de rappeler les tombereaux d'injures déversés par les médias aux ordres sur Claude Allègre, médaille d'or du CNRS et membre de l'Académie des Sciences ? Avec cet argument spécieux : « Il n'est pas climatologue ! » Sans dire que les 2 patrons du GIEC de l'époque, le Français Jouzel et l'Indien Pachauri étaient l'un physicien atomiste et l'autre ingénieur ferroviaire.
On est loin de l'esprit de Harvard où le prof n'est pas là pour imposer sa théorie et ses lubies. Ce sont les étudiants qui, en discutant, analysent des données concrètes et en extraient des conclusions pouvant déboucher sur des concepts. Provisoires parce qu'ils seront à leur tour passés au crible de la critique constructive. Évidemment, quand on retourne en France, on a du mal à se débarrasser de ces « mauvaises habitudes » .
Avantage de la démarche : On apprend à peser le pour et le contre pour se forger une opinion, et à défendre son point de vue à coup d'arguments et de contre-arguments. C'est une approche confrontée à la réalité des faits, très loin du cours magistral destiné à formater des imbéciles instruits.
En France, sont considérées comme des vertus l'incapacité à sortir des chemins
balisés parce que l'enseignement secondaire et supérieur des 50
dernières années s'est ingénié à raboter le sens critique,
annihiler l'esprit frondeur, condamner le goût des discussions hors
piste, et rejeter cet extraordinaire stimulus pour l'esprit qu'est la
remise en cause des théories qu'on croit acquises pour les exploser,
et en explorer de nouvelles.
Des voyants à la vue trouble
L'évolution
des climats dépend d'une multitude de paramètres, la plupart
aléatoires, qu'on parvient à sérier séparément mais dont on a le
plus grand mal a déterminer l’inter connectivité parce que
celle-ci est également conjoncturelle et ponctuelle.
Prétendre
maîtriser l'ensemble de ces paramètres, en les confiant à un
ordinateur qui pratique des tris croisés et des extrapolations
selon le programme qu'on lui a implémenté, témoigne d'une
extraordinaire suffisance confinant à l'arrogance.
La
plus énorme erreur est de vouloir fixer des tendances s'appliquant
partout de la même manière, avec une obsession maniaque :
Prédire et justifier le réchauffement global. Et
une cécité ahurissante attribuant un rôle prépondérant au CO2 responsable de tous les maux !
C'est
tout simplement ascientifique car le
principal
gaz à effet de serre est la vapeur d’eau. H2O représente 2% de
l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2 (= 0,04%)
Or dans
les modèles du GIEC, le CO2 vire à l'idée fixe quand, dans
l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède de
larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et
fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1
C'est
la vapeur d'eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la
chaleur, soit 90% des infrarouges, le reste étant imputable à
d'autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne
s'accumule pas par additions successives !
En
outre, les "savants" du GIEC ignorent l’effet du gradient
thermique vertical : L'air chaud monte et perd 2°C/1.000 pieds.
Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12° à 2000 m.
Enfin
le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau
qui se traduit avec la chaleur par un épaississement des couches
nuageuses, avec pour effet d'accroître l’albédo de la terre et
donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace,
diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.
Demain peut-être le refroidissement climatique?
Pied de nez au GIEC et à ses astrologues, des astrophysiciens se fiant à une baisse constante de l'activité solaire ont émis l'hypothèse qu'on pourrait connaître une période glaciaire de quelques siècles semblable à celle consécutive au « minimum de Maunder » à partir de 2030.
Coïncidence ? L'inénarrable Jouzel que les brosses à reluire des télés présentaient comme un prix Nobel (excusez du peu !) du fait de sa seule appartenance au GIEC, professait qu'une nouvelle ère glaciaire s'annonçait. Oui mais ça c'était avant. Avant que le GIEC l'embauche.
Pour
Richard Lindzen, professeur au MIT et physicien spécialiste de
l'étude de l'atmosphère : « Il
n'y a pas de consensus, unanime ou non, sur les tendances de long
terme du climat et sur leurs causes
(…) Nous
ne sommes pas en position d'attribuer avec suffisamment de confiance
les changements climatiques passés au dioxyde de carbone ou de
prédire ce que le climat sera dans le futur »
Tandis
que feu Frédérick Seitz, physicien
expert en structure des matériaux et rayonnements ionisants, et
président de l'Académie des Sciences des USA, disait : «
Il n’existe aucune preuve scientifique convaincante indiquant que
les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à
effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un
réchauffement catastrophique de l’atmosphère de la Terre et une
rupture de son climat.»
Contre la science, pensée unique et pensée magique
Les cycles climatiques courts (siècles) et intermédiaires, (millénaires) sont fonction d'abord de l'activité solaire, à laquelle il convient d'ajouter pour les cycles longs une incidence plus marquée des variations d’orbite de la terre, des changements de son inclinaison et de son axe de rotation. Avec à la marge les grandes éruptions volcaniques.
Ce sont les paramètres de Milankovitch.
Les
paramètres de Milankovitch ont été validés par la science
expérimentale :
Par
l'analyse des isotopes de l'oxygène dans les glaciers, la
paléoclimatologie confirme les corrélations avec les éruptions
solaires et les ralentissements d'activité de notre astre.
La
cyclostratigraphie entérine la théorie astronomique des climats, par
l'analyse des cycles sédimentaires qui sont autant d'indicateurs
dans les dépôts carbonés stratifiés de l'influence de la précession, de
l'obliquité et de l'excentricité.
Sur
des périodes plus courtes de l'ordre de 10.000 ans, le
dendrochronologie étudie des cernes des arbres y compris fossilisés,
révélant la succession des période chaudes, froides, sèches,
humides et leur durée.
Mais
qu'importe ! Les réchauffistes sont persuadés de savoir
distinguer le Vrai du Faux, le Bien du Mal, comme leur Greta voit et
sent le CO2, et se sont auto-investis de la mission sacrée de
protéger l'espèce humaine contre ses propres erreurs.
Ils annoncent des cataclysmes qui correspondent à des événements climatiques extrêmes comme on en a toujours connu, en taisant qu'en 1931 : 3,7 millions de personnes sont mortes du fait de catastrophes naturelles. Pour 11.000 seulement en 2018. Alors qu'entre temps, la population mondiale a quadruplé.
Pour les chamanes de la nouvelle religion réchauffarde, tous
ceux qui ne pensent pas comme eux sont dans le Faux
et le Mal, et menacent la survie de l'humanité. Les réchauffistes
ont donc un devoir impératif de museler tous ceux qui contestent
leurs lubies. C'est une logique d'inquisiteur. Ou de stalinien. Ou de Khmer rouge repeint en vert.
Le
réchauffisme est une religion laïque comme était le communisme au
siècle précédent. Avec son dogme, ses rites, ses messes, son haut
et bas clergé, ses ouailles, sa sainte bécasse, sa bureaucratie
lourde, sa propagande omniprésente, ses interdits alimentaires («
devenez végétariens pour sauver le monde !») et son
inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les
blasphémateurs et les hérétiques.
Bien
entendu cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que de
toute façon les réchauffistes esquivent en traitant par l'anathème
et l'excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le
diable !