vendredi 25 septembre 2020

Vers un gouvernent mondial écolo-tyrannique


Interdit de séjour sur Facebook

et Twitter

 Vers un gouvernement mondial écolo fasciste



Les prédictions catastrophistes du GIEC qui prétend sans complexe « guider les actions des gouvernements du monde entier » s'appuie sur l'ignorance des foules dans le domaine de la science et de l'histoire, et la cécité de tous ces gens pour qui le JT tient lieu d'évangile.
Elles ont été rédigées par une centaine de chercheurs internationaux sélectionnés et cooptés, pillant sans vergogne les travaux de leurs collègues quand ils y trouvaient matière à étayer leurs démonstrations. Quitte à "ajuster"  un peu les données.

Leur travail s'est limité à compiler des conclusions hétéroclites en provenance de tous les continents. En oubliant l'optimum médiéval pour obtenir la fameuse courbe truquée en crosse de hockey de Mann (Cop 25 : La débâcle des imposteurs climatiques) Et au besoin en « arrangeant » les chiffres lorsqu'ils ne correspondaient pas aux prédictions (climate gates in Profession : Escrolo réchauffard )

La résolution finale des COP a été peaufinée avec le concours de représentants de l'O.N.U et de l’Union européenne. Et plus on montait dans la hiérarchie des décideurs, moins on trouvait des scientifiques.
Par contre, on ne manquait pas aux plus hauts postes de politiciens à la ramasse, d'administrateurs ambitieux, de banquiers cupides et de journalistes serviles.

«Néanmoins, chaque fois que des esprits indépendants et ayant une formation scientifique solide - qu'ils soient physicien, géophysicien, ingénieur ou même climatologue - ont examiné le dossier du « réchauffement climatique anthropique », ils ont soit émis des doutes, soit réfuté les thèses alarmistes du GIEC...
Chaque fois ils ont été immédiatement et violemment attaqués, calomniés, injuriés par les « grands prêtres du réchauffement » sans que ces derniers argumentent.»
Exemple : Claude Allègre, médaille d'or du CNRS et membre de l'Académie des Sciences traité d'ignare par les bacs - 10 qui sévissent sur les différentes antennes.

Pour ces experts autoproclamés, l'augmentation générale de 1,5 °C, provoquerait l'engloutissement des atolls, à commencer par ceux du Pacifique avant l'an 2020. Des millions de réfugiés climatiques erreraient comme dans Waterworld en quête de terres habitables... Fort heureusement, la réalité fut toute autre (Voir  Atolls une gifle pour le GIEC *)  
Sur un plan général, la présentation biaisée des températures depuis l'an mil fut condamnée par la justice comme fraude caractérisée :


Mann a lissé son graphe pour faire commencer le pseudo réchauffement vers 1970 en ignorant délibérément l'optimum médiéval et le mini âge glaciaire qui suivit.


Des « modèles de réchauffement climatique» complètement irréalistes et farfelus


Les réchauffards ont annexé des phénomènes naturels connus depuis toujours, tels que les tempêtes, les tornades, les cyclones et les avalanches pour les intégrer dans leurs modèles. Or un réchauffement global significatif, s'il était avéré, aboutirait à une réduction de ces événements extrêmes ! L'inverse de leurs prédictions.

Selon Richard Lindzen, physicien de l'atmosphère au MIT, démissionnaire avec fracas du GIEC comme tant d'autres, muselés ensuite par les médias propriétés des magnats du NWO : "Si le réchauffement climatique était réel, la réduction du différentiel de température entre les zones tempérées et tropicales de notre planète rendrait l’énergie cyclonique beaucoup moins dévastatrice."

Et contrairement à ce qu'ânonnent les diffuseurs de prêt-à-penser, si l'on fait une statistique depuis le temps de la flibuste dans les Caraïbes (grâce aux ecclésiastiques qui notaient tout) l’importance et la fréquence des tempêtes tropicales et des cyclones ne tendent pas à augmenter sur une période longue.
Un caillou de plus dans le marigot du GIEC.

Par ailleurs, les récents pics de température mesurés par les satellites et les ballons météo à l'Ouest de l'Amérique du Sud ne sont en rien liés à un prétendu réchauffement. Ils relèvent d'un phénomène naturel bien connu depuis le temps des conquistadors appelé ElNiño 

Cette variation de pression atmosphérique résulte de brassages des eaux très chaudes à la surface de l’océan Pacifique. La chaleur ainsi libérée dans l’atmosphère fait augmenter la température locale, nourrissant des cumulonimbus par une évaporation trop rapide induisant des risques de cyclones, mais le CO2 ne joue aucun rôle dans ce processus.

La planète sauvée par les éoliennes ?


Le milliardaire Warren Buffet qui exploite un immense parc d'éoliennes dans l’Iowa avoue sans complexes : « Nous bénéficions d'un crédit d’impôt proportionnel au nombre d'éoliennes qu'on met en service. C’est la seule raison d'en construire.»
En effet, ces moulinettes ont des rendements imprévisibles et même dans des conditions météo optimales, le vent ne produit pas assez d’électricité pour les rendre rentables... Elles ne permettent même pas d'espérer un retour sur investissement, hors subventions et cadeaux fiscaux.


A noter que la fabrication de leurs aimants nécessite de grosses quantités de cobaltenviron 30% du poids de moteurs de plusieurs tonnes, un composant dangereux pour la santé, extrait dans des conditions déplorables essentiellement en Afrique par des enfants esclaves.
A ce cobalt s'ajoute le néodyme, ce qui fait deux matériaux qui à l'usure se dispersent en micro particules, causant des pathologies respiratoires et cardiaques graves ainsi que des cancers et des cécités définitives.

On peut ajouter aux effets nocifs sur la santé des humains les infra-sons produits par ces machines, qui provoquent toutes sortes de troubles légers mais persistants, tels qu'acouphènes, pertes de sommeil, nervosisme.
Sans oublier les dommages occasionnés au monde animal : Les éoliennes tuent des centaines de milliers d'oiseaux. Et celles en mer tuent de plus en plus de mammifères marins.
Évidemment les baleines et les dauphins ne sautent pas assez haut pour se faire décapiter par les pales des éoliennes... Par contre, les vibrations de ces moulins à vent perturbent leur système d'écholocalisation ainsi que leurs moyens de communication, provoquant de dramatiques échouages.

On peut aussi noter un article symptomatique des pratiques du green business :
Le « Telegraph » du 25 août 2012 révélait que le CCC (Committee for Climate Change), chargé de conseiller le gouvernement britannique sur les dangers des émissions de gaz à effet de serre, était présidé par un certain Lord Deben directeur d'un consortium de firmes largement subventionnées par l'Etat,  installant des parcs d'éoliennes.
D'après un autre article du « Daily Mail » la moitié des membres du CCC avaient encore en décembre 2013 des intérêts financiers dans des sociétés vendeuses d'énergie verte qui profitaient des mesures que le Comité faisait adopter.

L'éco-tyrannie passe par un ministère mondial de la vérité 

Machiavel n'avait pas manqué d'observer qu'un prince avisé devrait obtenir de ses sujets qu'ils le servent avec ferveur en leur faisant croire qu'il les protégeait de périls imaginaires. Une guerre. La disette. Des bandits de grands chemins. Une nouvelle peste noire... Tiens, tiens...

Le Florentin avait compris, bien avant toutes les études de psychologie sociale qu'on obtient davantage de ses serviteurs par la persuasion que par la contrainte. Convaincus que leur intérêt est d'être des loufiats aussi loyaux que serviles, ils voueront une reconnaissance sans borne à leur maître. L’U.E par ses directives nous offre un échantillon d'une future gouvernance totalitaire « consentie » sous la tutelle sourcilleuse du GIEC. Pour nous sauver tous. En attendant l’ONU qui, pour le moment, essaie de canaliser les luttes d’influences entre rétivité et complaisance.

Diverses personnes qui ont fait leurs premières armes au sein de mouvements « révolutionnaires » imbibés de marxisme, se sont laissées convaincre qu'après l'échec de la lutte des classes, la lutte des places (dans leur intérêt évidemment !) passerait par une gouvernance mondiale chargée de résoudre les problèmes planétaires par la matraque et le racket fiscal « librement consentis ». Les médias stipendiés sont là pour créer *l'illusion d'unanimisme.*

Le *decodex* et ses petites mains du soi-disant fact checking disent comment bien penser aux gens trop bêtes ou trop fatigués pour se forger une opinion par eux mêmes. Et comme deux précautions valent mieux qu'une, ces censeurs insidieux, particulièrement pugnaces contre les climato-sceptiques, ont instauré un clivage net et sans bavures : D’un côté en vert, donc fiables, tous les médias main stream et leurs satellites avec subventions d’État et journalistes encartés. Réchauffistes bien évidemment. Et de l’autre, en rouge, donc douteux, ceux qui s’autofinancent et n’ont pas la carte de presse.

Sans ce sésame, ils sont réputés écrire n’importe quoi, même lorsque leurs pigistes sont des pointures dans le domaine dont ils dissertent. Surtout quand ils osent douter de la doxa… Toutes les armes du terrorisme intellectuel sont réunies au service de l'idéologie mondialiste.

Sous divers aspects, le réchauffisme est une sorte de religion laïque comme était le communisme au siècle précédent. Avec son dogme, ses rites, ses grand'messes, son haut et bas clergé, ses ouailles crédules, sa bureaucratie lourde, sa sainte gourde, sa propagande omniprésente, ses interdits alimentaires (« devenez végétariens pour sauver le monde ») et son inquisition médiatique prompte à punir de la  mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques..

Bien entendu cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que de toute façon les réchauffistes esquivent en traitant par  l'anathème et l'excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable!
Etrange tout de même que des gens qui se disent anticapitalistes ne voient pas que, par la pression sociale qu'ils exercent, ils favorisent le racket de milliards de dollars chaque année au profit des banksters du NWO investisseurs dans l'économie  dite verte hyper-subventionnée, aussi polluante que l'autre et pas plus motivée à réduire-détruire ses déchets.

Enfin, ajoutant l'odieux de la culpabilisation aux mensonges de la propagande, les réchauffards tentent de manipuler les foules en leur martelant comme un leitmotiv : « vos enfants vous reprocheront le monde que vous allez leur laisser » La lutte des âges dans  les familles. Le summum de l'abjection quand on est à court d'arguments.

Des prédicateurs aux prédateurs, les objectifs réels du réchauffisme :

Les gens du GIEC, leurs émules et leurs thuriféraires ne compromettent pas leur réputation de scientifiques sérieux (et accessoirement intègres) en racontant n'importe quoi pour complaire à leurs maîtres. Ils en attendent des dividendes sous forme d'honneurs, de postes convoités, de crédits de recherche enviés, de publications favorisées et bien sûr de rémunérations confortables. À ce tarif là, ils justifieront par tous les moyens ces 3 objectifs principaux :

D'abord l'assujettissement des États-nations à une plate forme de décision mondiale, en commençant par des traités contraignants d'abandons de souveraineté, anticipant un gouvernement global aux ordres des conglomérats industriels financiers. Avec au moins au début, des simulacres d'élections, mais sans que des dirigeants désignés plus qu'élus soient réellement responsables devant le  peuple. Le tout enrobé de vérités irréfragables auxquelles chacun serait tenu de croire s'il tient à éviter l'exil intérieur. 

Ensuite le détournement du regard des Occidentaux vers la menace fantôme du réchauffement cataclysmique, en occultant la menace réelle d'une déferlante migratoire qui a déjà commencé à modifier radicalement leurs équilibres géopolitiques et sociétaux ainsi que leurs modes de vie... Tout en remplissant au profit des banksters & oligarques des viviers grouillant d'ouvriers et de nervis pas toujours déclarés, hors syndicats et aisément manipulables ou remplaçables, pour peu qu'on satisfasse leurs *lubies religieuses.*

Enfin le parachèvement de ce qui est déjà bien entamé : une paupérisation généralisée compensée par un assistanat réduit au minimum vital destiné à rendre les gens encore plus dépendants et à enrayer toute velléité de contestation. Et la mise en œuvre de mesures de décroissance « provisoires » pour « sauver la planète ! © et combattre les virus maintenant !
Avec à la clé une restructuration économique destinée à parachever la transition de l’économie réelle vers le monde de la finance pure...
Sans se priver du bonus de la docilité des peuples muselés sans se regimber pour satisfaire les diktats opportunistes prétextés par la crise sanitaire.

La réussite du projet d'asservissement des peuples et des nations repose sur  une double terreur :
Peur panique d'un virus qui, au plan de la morbidité, équivaut à une sévère grippe comme on en a subi des centaines dans le passé.
Et crainte d'un réchauffement cataclysmique qui embraserait toute la planète. Alors que, du fait d'une baisse constante de l'activité solaire, la température moyenne s'est stabilisée et que le  soleil s'oriente doucement vers un minimum de Maunder, susceptible de provoquer une nouvelle petite ère glaciaire qui pourrait commencer vers 2030.



















                                                








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